En quête d'une fiche Jack...

En ce samedi après midi, Oliver se baladait en ville, seul en quête d'une fiche Jack, pour réparer Sibyline, bien que ce soit à contre coeur, mais s'il le faisait c'était uniquement pasque Isääk lui avait demandé de le faire. Il espérait que ça ne coûterait pas trop cher, il ne disposait que de faible fond. En réalité il n'avait pas la moindre idée de se que pouvez être une ffiche Jack. Alors il entra tout d'abord dans un magasin d'informatique, où on lui dit qu'il n'y avait pas d'accessoire de musique ici d'aller voir dans le magasin de musique au bout de la rue. Il sortit donc, et enfin trouva le magasin de musique. Il n'était pas très grand, mais possédait énormément d'instruments en tout genre. Il ne prit pas la peine de chercher en rayon , puisqu'il ne savait pas à quoi cela ressemblait. Il s'adressa donc de nouveau directement au caissier:

-Bonjour, je cherche une fiche Jack, s'il vous plait.

-Bonjour, Oui, je vous en cherche un.

Il entra dans la remise et quelques instants plus tard, en ressortit avec un gros cable. Oliver espérait qu’il aurait assez, mais selon Sibyline, ce n’était que 6€.
Sur l’emballage, il était écrit Yellow câble

En quête d'une fiche Jack... Uyhuuax9.th

Il espérait que ce serait bien sa. Comme annoncé, le câble ne coûta que 6€. Il paya, et enfin sortit du magasin…

Isääk se baladait, il n'avait rien de mieu à faire de toute manière. Les cours, les devoirs, tout ça, il n'y pensait pas, il preferrait le bon air pur que de rester plancher pendant des heures devant une copie.
Alors, ses pas le menait, au hazarre, à travers la rue commerçante. Oh, Isääk avait de l'argent, ce n'était pas un problème, il pouvait donc acheter tout ce qui lui faisait plaisir, mais là, il n'en avait pas envi. Il fouinait, farfouillait, flanait à travers les dédalles marchande.

Quand, soudain, il croisa Oliver. Il n'eu aucun mal à le reconnaitre, il était surment le seul garçon, des kilomètres à la ronde à avoir les cheveux blanc. Souriant, il avança à travers le monde, se frayant un chemin et se posa devant son ami.
Avec un petit signe de la main, il ébouriffa ses cheveux et dit, tout joyeux:

-"Tien, salut Oliver^^! Tu fais des emplètes?"

Il n'eut pas le temps de faire quelques mètres à la sortie du magasin, que déjà il croisa son ami Isääk, passant apparemment aussi dans cette ruelle. Il vint alors vers lui, et immédiatement passa la main dans les cheveux d'Oliver. Celui-ci lui sourit alors.

-En faite, je suis aller à MusikStore acheter une fiche Jack pour Sibyline. Mais autant dire qu'à présent les emplettes c'est finis pour moi, je n'est presque plus d'argent de poche...
Et toi qu'est ce que tu fais par ici?

Quand Oliver parla de Sibyline, Isääk écouta attentivement. Il savait que son ami et elle ne pouvait se supporter. Et, quand il lui fit qu'il avait finalement acheter l'objet qu'il avait casser, le garçon sourit et ébouriffa encore plus les cheveux d'Oliver.

-"Oh, moi..."

Il baissa les yeux, penaud.

-"Heu... Je ne voulais pas travailler, alors... ben, je suis sortit. J'aime beaucoup me balader, les pièces enfermés et noir me rappel de mauvais souvenirs..."

Il ne dit rien de plus. Un instant, son visage se fit sérieux avant de retrouver son sourire rayonnant.

Etant donné du second ébouriffage intensif, Isääk semblait content de l'achat d'Oliver, qui rougit un peu.

-Dis, tu ne voudrais pas donner le cable à Sibyline à ma place?

Il ne précisa pas parsqu'il avait peur de le faire, mais cela se comprenait à la tonalité de sa voie. Puis Oliver conta ses sous restant. Il lui restait encore assez pour une glace.

-Sa te dirait d'aller prendre une glace avec moi?

Dommage qu'Elia n'était pas la, il aurait bien aimé pouvoir l'invité, bien qu'il n'aurait pas eu l'argent pour lui payer sa glace...

Un sourire illumina le visage d'Isääk. Il adorait les glaces, surtout celle à la fraise.

-" C'est mieu que ce soit toi qui lui donne, mais pour la glace, je suis d'accord"

Ainsi, il passa un de ses bras autour des épaules de son ami et avança. Il avait prit une besace qu'il avait placé en badoullière. Dedans, il y avait son porte monnaie qui lui, était plutôt bien remplit. Inutile de préciser que cette argent, il l'avait gagner de sa propre sueur.

-" Dit moi, tu sais ce que fait Elia? Elle travaille?"

Il avait du mal à envisager que la jeune fille puisse travailler. Avec sa cessité, elle ne pouvait ni lire, ni écrire. Il se demandait si elle n'était pas seule, dans une pièce.

Oliver choisit lui une glace à la menthe. Il adorait cette glace autant que cette couleur verte, la même que celle de ses yeux. Il paya, et attendit qu'Isääk fasse de même puis se dirigea vers un petit banc où il intimida son compagnon, chargé d'une glace a la fraise de s'y assoir avec lui.

-Sa me fait peur tu sais de lui donner moi même, elle va se moquer et tout, c'est pour sa que je voulais que tu le fasses. Tu t'entends bien toi avec elle...
Elia? A vrai dire je ne sais pas, je ne l'est pas vu aujourd'hui. Peut être que le professeur de littérature l'aide pour ses devoirs... On devrait faire de même je pense, sinon, elle ne s'en sortira pas.

Pensif, il lecha sa glace ,puis commenca à croquer le cornet...

-Tu en penses quoi toi du monde virtuel à l'infirmerie? Quel en est le but?

Les yeux d'Isääk s'agrandirent. Sibyline faisait peur?
Il eu un mal fou à ne pas rire. Et puis, la jeune fille ne se moquerait pas, il en était sur, presque certain.
Alors, il endossa encore le rôle de grand frère et dit:

-" Elle ne se moquera pas Oliver, et puis, tu sais tu as eu raison. Le fait de l'avoir acheter permet de faire de toi un adulte. Tu prend tes responsabilité, que cette personne te plaise ou pas. Moi, je trouve cela bien, très bien même."

Il souriait maintenant et passa sa main valide dans les cheveux soyeux d'Oliver les ébouriffants un peu plus.

-"Pour ce qui est des cours, je n'ai aucun problèmes avec ça. Je me débrouille bien..."
Et, enfin, il finit par dire:

-" Pour le monde virtuel, je ne sais pas trop. Je crois que ça nous montre nous, tel que nous sommes, et nos peur en prime."

Il lecha sa glace, grimaça à cause du froid qui lui montait à la tête et continua son monologue:

-" Mais, il ne faut pas trop s'attarder à tout comprendre. Plus nous le fesons, plus j'ai l'impression de m'enliser et de me revoir avec ces chaines si lourde et ce trou, dans ma poitrine. Je me dit que je ne suis pas ce garçon, même s'il me ressemble. Sinon, je ne pourrais plus sourire tel que je le fais... Tu le sais, je n'ai pas eu une enfance facile, et le seul moyen de m'en sortir, ça n'a pas été d'oublier, mais de faire en sorte de ne plus trop y penser... Sinon, je ne sais pas comment je finirais."

Il souria, mais cette fois ci, plus aucune joie ne se lisait sur son visage.

Isääk faillit eclater de rire, et cela vexa Oliver. Qu'y avait il de drôle? Cependant il aima l'atitude de grand frère que prit Isääk. Mais il comprit que cela ne servirait à rien d'insister, il ne donnerait pas à sa place la fiche Jack à Sibyline, s'il l'avait su, il ne l'aurait peut être même pas acheté. De plus il doutait que Sibbyline ne se moquerait pas. Il pensait plutôt qu'elle n'hésiterait pas à savourer sa victoire. Il redoutait cet instant.

Puis son compagnon lui répondit concernant le VCh et Oliver regrettait de lui en avaoir parler. Pourtant il s'était promi de ne pas en parler, ce n'était pas eux dans ce monde, mais de vague copie. Mais Isääk sembalit dire qu'ils étaient tel qu'il étaient réellement. La réponsse, chamboula Oliver:

-Non, ca ne peux pas être nous à l'interieur de ce monde, pourquoi tu aurais un trou au coeur, et que tu serait incapable de me voir ni même de m'entendre?

Oliver comprit la stupidité de sa réflexion. Il savait parfaitement à présent pourquoi son ami n'avait pas de coeur dans ce monde te pourquoi lui était invisible. Seulement, il se plaisait à croire que ce monde la n'avait pas de sens,qu'il n'avait strictement aucun rapport à la réalité.

-Désoler d'avoir parler de sa...

Isääk souriait toujours de ce sourire sans joie. Il n'aimait pas trop l'idée du VCH, cela lui faisait un peu peur et le rendait triste, mais il ne voulait pas montrer ses faiblesses, déja que la nuit il n'était pas stable, alors...

Bref, le garçon laissa tomber sa tête sur l'épaule d'Oliver et dit d'une voix audible:

-" Arrête, ne t'excuse pas."

Il croqua le cornet, macha un temps puis avala avant de répondre à la question qu'Oliver regrettait d'avoir posé.

-" Je crois qu'Elia nous l'a bien dit la dernière fois, dans ce monde virtuel. Tu sais, au moment où plus personne ne bougeait, chacun de son côté. Bref, si j'ai un trou à la place du coeur c'est surment parce que je n'en ai pas. Pour ce qui est de ton invisibilité, je suppose que c'est justement parce que tu n'as pas confiance en toi. Mais je n'affirmerai rien, seul toi peut comprendre...."

Cela devenait trop sérieux, Isääk n'aimait pas ça.

-" Au fait, Elia etait toute mimi la dernière fois, avec Alathéa... Quand vous vous êtes battu... Elle n'a même pas hésité à venir t'aider."

Un large sourire s'inscrivait sur son visage. Il ne redressa pas la tête mais savait qu'Elia était un sujet pour le moins interressant. Oliver semblait avoir un faible pour elle, mais peut être que cela n'était que de l'amitié...

Isääk laissa alors tomber sa tête sur l'épaule d'Oliver et l'intimida d'arreter ses excuses. Il évoqua alors quelques choses qu'Elia aurait dit dans le monde virtuel, mais il n'arrivait plus à se souvenir de quoi il était question. Certes il retenait tout les propos d'Elia, mais considerait que cela ne venait pas "directement" d'Elia, mais de sa representation virtuel. Il ne voyait donc pas le besoin de chercher à se rapeller de ses propos.
Son ami lui affirma alors ce qu'Oliver se doutait déjà, Isääk le sans coeur..

-Tout le monde à forcement un coeur, on pourrait pas vivre sans...

Oliver parlait bien sur au sens premiers d'un ton qui se voulait un peu naïf. En réalité il comprenait parfaitement se que voulait dire Isääk.
Puis Isääk lui parla de nouveau d'Elia. Tien, cela était étrange qu'il veuille à ce point lui parler de la jeune aveugle.

-Tu trouves Elia mignone? Je croyait qu'elle n'était pas ton genre de filles?

Oliver se renfrognait. Il se doutait que si son ami désirait Elia, il n'aurait aucun mal à l'obtenir, car il possedait une suffisante confiance en soi doublé d'un charisme à tout epreuve. Cependant il se rapella qu'il n'avait pas de coeur. Il ne pouvait donc aimer Elia, enfin il esperait, car il supporterait mal de voir les deux personnes pour qui il éprouvait le moindre sentiments sortir ensembles, il se sentirait totallement délaisser. Alors il chassa cette idée de la tête. Non, Isääk n'était pas interessé par Elia, cela ne se pouvait pas...

Isääk ne releva pas, tout le monde avait un coeur, mais le sien était dépourvu de tout sentiment. Il ne fit qu'une grimace avant d'entendre les autres parôles de son ami. Et, là, il ne put continuer sa mauvaise humeur. Sous le ton renfrogné d'Oliver, Isääk se mit à sourire largement, sa tête sur son épaule.
Etait-il jaloux, son ami? Si c'était le cas, alors le garçon avait raison de sourire.

-" Ah non, ce n'est pas mon genre de fille, mais elle est jolie quand même. On ne sait jamais, si elle veut bien de moi!"

Les yeux brillant, il se dit qu'Oliver comprendrait peut être quelque chose s'il continuait son petit manège. Au pire, il s'excuserait de lui avoir fait mal...

Oliver était désemparer par la réponse de son ami. Cependant, il se montra franc dans sa réponse, bien qu'il ne désirait absolument pas qu'Isääk et Elia se retrouvent ensemble:

-Moi je suis sur qu'elle voudrait de toi si tu lui demandais, mais...

Il ne termina pas sa phrase, mais sa pensée était facile à percer. Il en serait jaloux si c'était le cas. Et à la fois jaloux d'Isääk, mais aussi d'Elia...

-Alors que moi, elle ne voudrait pas de moi, comme tout le monde parsque je manque d'assurence, et qu'elle au contraire voudrait ce sentiment de se sentir protegée par un être cher je pense...

Il regarda la table. Il savait que son ami allait lui faire la moral comme quoi il avait tort et tout, moral que d'emblée il n'écouterait pas car il avait trop l'abitude d'entendre ce genre de réplique. Mais au fond c'est vrai qu'il était capablle, s'il osait et sortait de sa coquille, de faire preuve de confiance de soi. Cependant, le monde exterieur lui faisait assez peur, et il preferait rester dans son monde à lui. Mais dans ce cas, ce ne serait pas facile de se faire aimer d'Elia ou même d'Isääk...
Soudian, il décida de faire un pas dans sa vie.

-Isääk, tu voudrais bien poser tes lèvres sur les miennes, juste une fois, pour que je voies ce que ça fait?

La réplique ne manquait pas de niaiserie, surtout qu'en plus, ils se trouvaient dans un lieu publique, ou il serait mal vu de la part de deux garçon, de s'embrasser, même si pour Oliver, c'était plus pour une experience. Il se disait que peut être, le fait de connaitre le gout des lèvres, l'aiderait à prendre confiance en soi, notemment auprès d'Elia...

Isääk allait répondre "mais quoi..." à la réponse d'Oliver mais il n'en eu pas le temps. Son ami continua de parler et dit une vérité qui n'en était pas une.
Déja, Isääk doutait et de beaucoup qu'Elia veuille bien s'interresser à lui. Les filles comme elle était trop pure et trop sage et n'attendait rien que l'amour sous sa forme la plus pure. Et, le blondinet ne pouvais pas répondre à ce genre de sentiment, non, il ne pouvait pas car il ne recentait pas cela pour elle, ni pour aucun autre.
Mais, ce qui l'agaça au plus profond fut qu'Oliver disent qu'il manque d'assurance. Oui, ce n'était pas faux, mais le faire remarqué n'amenerai à rien et Isääk aurait préferé qu'il se batte avec lui ou lui réponde crument qu'il ne voulait pas qu'Elia le choississent ou s'interresse à lui.

Mais, la suite lui coupa le souffle. Il se releva brusquement et ses yeux s'agrandirent de surprise. Et bien, pour quelqu'un qui manquait d'assurance, Oliver se débrouillait plutôt bien.
Allait-il le faire, Isääk, ce garçon qui refusait de donner de l'espoir aux autres? Allait-il répondre positivement à la question d'Oliver?
Doucement, il passa une main dans ses cheveux, et plongea son regard dans celui de son ami.
Et pourquoi pas...

Alors, il répondit tranquillement:

-" D'accord..."

Sa voix n'avait pas tremblée, Isääk semblait serein, et, il l'était.

Alors, il avança lentement sa tête de celle du garçon et murmura tout près de sa bouche, de tel sorte qu'il sentait l'alleine fraiche de son ami:

-" J'y vais, Oliver, j'espère que tu ne regrettera rien..."

Et, après une bonne seconde de réfléction où Isääk pesait le pour et le contre. Ben oui, après tout, il s'était promis... Seulement... Et bien... Voila, il en avait aussi un peu envi, à cet instant...

Alors, il s'avança encore, pencha doucement la tête sur la gauche et posa délicatement ses lèvres sur les siennes. Sa main droite se leva et prit le visage d'Oliver avant de reculer très lentement.

Il ne dit rien, les yeux dans les yeux, il attendait qu'Oliver dise quelque chose, n'importe quoi plutôt que le silence...
Dans ces moments là, et seulement ceux là, Isääk se taisait, car il était un trop géné pour parler.

Oliver ne fut pas surpris de la réponse, pour lui il était logique que si Isääk était l'ami qu'il prétendait être d'Oliver, il accederait à sa requette. Cela ne dura qu'un instant, mais une éternité, et en ce moment, il sentit sa bulle craquelé, enfin le poussin cassait sa coquille. Il fermit les yeux, et lorsqu'il les réouvrit, à peine un tier de seconde plus tard, Isääk était la contre lui, ses lèvres contre les sienne. Il regretterait peut être d'être sortit de son monde, mais il le fallait, et il en était conscient. Il savoura ce moment, jusqu'à que celuici prennent fin,à peine quelques secondes plus tard. Et enfin il prit conscience que tout le monde alantour les regardaient, et il s'en sentit gêné. Mais il sourit à Isääk, il était heureux.

-Merci

Dit il simplement. Il savait enfin se qu'était embrasser quelqu'un, il pourrait dès à présent affronter le monde dans lequel il vivait, sans crainte, du moin c'est ce qu'il croyait, en réalité c'était purement psycologique, et cela ne lui apporterait pas grand chose. Mais peut être, aurait il plus d'assurance envers Elia, puisque désormais il était en avance sur elle. Il plongea ses yeux dans le bleu de son compagnon, et ses joues devinrent alors équarlate. Qu'avait il éprouvé lui? N'avait il vraiment pas de coeur? Le regard des gens commençaient vraiment alors à l'embarasser, il voulait déjà redevenir invisible.

-Pourquoi ils nous regardent tous?

Isääk lacha finalement le visage de son ami avant de se laisser tomber sur le dossier. Enfin, il se laissa glisser de tel sorte que ses fesses se trouvaient sur le point de tomber dans le vide, ce qui ne fut, biensur, pas le cas.
Les mains dans les poches, il avait le regard vide ne remarquant même pas les passants qui les regardaient avec des yeux surpris et haineux.

Finalement, il n'avait pas tenu sa promesse...
Et m***, c'était tout lui ça, se jurer quelque chose et finalement faire le contraire. Mais pourquoi était-il comme cela, hein? Oui, pourquoi?
Enfin, il espérait au fond de lui même qu'Oliver ne s'entiche pas de lui, cela ne ferait que le faire souffrir et n'amènerai à rien.
Et si, finalement, c'était Isääk qui s'entichait de ce garçon, assis à ses côtés?
N'importe quoi! Il ne fallait pas, tout simplement, et puis...

Isääk posa doucement une main sur ses lèvres avant de replacer celle-ci dans sa poche.
Il le savait pourtant, qu'embrasser quelqu'un le faisait souffrir...
Oh et puis maintenant, c'était fait, alors...

Bref, il tourna la tête et regarda Oliver à ses cotés. Celui-ci semblait géné des regards qui pesait sur eux. Au début, le blondinet ne compris pas, puis, il posa ses yeux sur les passants.
Enfin, haussant les épaules il répondit avec un sourire sur les lèvres:

-" Parce que ce n'est pas courant de voir deux garçons s'embrasser. Et puis, très peu sont tolérants tu sais..."

Il sourit de plus belle et ajouta:

-" Tu ne regrettes pas alors?"

Oliver avait vraiment du mal à comprendre comment des gens pouvaient manquer de tolérance à la vue de deux personnes qui s'embrassent quelque soit leur sexe. Oliver se dit que peut être après tout ces gens là était tout simplement jaloux, jaloux de ne pas pouvoir aimer où être aimer par la eprsonne qu'il souhaiterait. Et que c'était pour sa qu'ils n'aiment en retour pas les gens qui s'aiment.A vrai dire, ce n'était pas la première fois qu'il apercevait des regard mauvais dans les yeux des gens à la vue d'un couple, bien qu'aujourd'hui il était concerné en plus haut point puisqu'il était l'auteur de la scène. Il voudrait recommençait l'experience, juste pour voir s'il éprouverait la même chose que la fois précédente. Mais le regard des autres le génait vraiment en ce moment.

-Je ne regreterrait jamais se que j'ai put faire, même si sa me ferait mourir je ne regretterait pas...

Alors il sortit un papier et commença à écrire un poème. Cela lui prit à peine dix minutes tant l'inspiration était présente à ce moment chez lui. L'écriture était mauvaise, mais voici se que cela donnait:

Citation :: La mouche et la fourmi naine

Alors qu'en jour de misère
La disette guette la fourmilière
Une fourmi naine aguérie
Sortit en quête de nourriture
Pour sauver la prochaine progéniture.
La Mouche volait par içi,
Ce qui fut fort aise à la fourmi.
La Mouche ne semblait n'avoir aucune peur
C'était maladresse ou manque de pudeur,
Qui desarçonna la Fourmi en toute rigueur.
"Quel est ton dessein, pour offrir aux mien,
Un tel festin?"lui demanda la naine avec dédin.
"Si le Destin voulut notre rencontre, ce n'est pas pour rien.
Si je m'offre à toi, c'est parsque je t'aime,
Petite Fourmi naine, et la Mort
Ne m'est rien, car ce dont je t'offre, ce corp,
Liberera mon âme, afin que nos sort,
Ne reste à jamais liés". A ces mots,
La Fourmi, séduit par ces propos,
Lui répondit: "si tu veus de moi être aimé,
Nul besoin pour toi d'être mangé,
Car pour toi je suis prêt à sacrifier ma famille,
Car de ton amour j'ai tout appris.
Quel importance que nos corp soit différents,
Puisque nos âmes s'aiment tant?"
Les naines arrivant, jugeant ces propos contre-nature,
Décidèrent de les mettre tout deux en pature.

On ne peut supporter et on prêt à tuer,
Ceux qui ont osés s'aimer et l'assumer

.

En réalité, il avait choisit la mouche, qui le représentait, volant dans son monde, sans ce soucier de rien, jusqu'à rencontrer, la fourmi naine, Isääk, pour qui il était pret à mourir, si cela lui permettait d'être aimer de lui. La fin c'était son espoir. Qu'il n'aurait pas besoin de mourir à cause d'Isääk s'il l'aimait...Puis il sourit à Isääk, après avoir plié et rangé le papier dans sa poche:

-toi tu ne regrettes pas j'esper?

[Hrp: je l'est tapé sans faute d'orthographe pour la lisbilité, mais Oliver en a fait énormément, il n'écrit pas très bien en réalité...]

Isääk soutenait les regards, avec le sourire. Lui, il en avait l'habitude, ce n'était pas la première fois, et ça ne serait surment pas la dernière. C'était ainsi, il n'y pouvait rien.
Pour lui, la tolérance des uns s'arrêtait ou commençait celle des autres. Les gens pouvaient le haïr, lui il le tolérait. Chacun ses pensées, chacun ses choix. Isääk respectait tout les choix et les idées de chacun. Il n'y adhérait pas, mais les respectait, c'était sa manière à lui de ne pas faire comme ceux qui le regardait, en cette instant, avec des yeux mauvais ou tout simplement étonnés. Parce que, s'il ne respectait pas les autres, il ne fallait pas s'étonné à ce qu'on ne le respecte pas...

Bref, le garçon regardait les passants, s'amusait à compter combien les regardaient avec mépris et il remarqua qu'il n'y en avait pas tan que cela. Bon, alors dans cette ville, ils étaient plutôt tolérant. Une bonne nouvelle, ou pas.

Puis, Oliver lui dit une chose qui le surpris. Pret à mourir, pour lui? Mais, enfin, il n'en demandait pas tant. Ca par contre, c'était génant, parce qu'a Isääk, on ne lui avait jamais tenu de tel propos.
Oh, si biensure, certaines fois, on le lui avait promis, on l'avait supplié d'être un peu aimé en retour, mais qu'on se propose de mourir pour lui? Non, jamais...
Surtout qu'Oliver semblait ne rien demandé, rien qu'un peu d'amour. Seulement, Isääk l'avait déja prévenu, ce garçon qui se tenait devant lui, il ne pouvait pas aimer, il n'y arrivait pas, il ne voulait pas, il...
Oui, mais au final, il l'aimait bien Oliver. Un peu, comme un copain, mais très différent d'un ami ou d'un amour. Quoique, il se surprenait parfois à sourire quand il parlait, à rire quand il riait et à rougire, comme en ce moment.
Avec les autres... Non, il ne se souvenait pas avoir eu de tel actes. Et, même si Isääk souriait souvent c'était rare qu'il rougisse de la sorte. Mais, ce poème, il était si... si...
Aucun mot ne venait, aucun pour définir ces sentiments qui naissait en lui. Alors c'était cela l'amitié? Alors c'était cela l'amour?

Le garçon était tellement troublé qu'il failli tomber de sa chaise et se rattrapa à la dernière seconde à la table qui bascula mais tint bon.
Se redressant en maugréant, Isääk regarda Oliver et sourit avant d'ébouriffer ses cheveux blanc comme neige.
Le garçon avait toujours les joues rouges, mais il fit comme s'il ne s'en était pas rendu compte. Alors, enfin, il répondit:

-" Non, je ne crois pas."

Il tira la langue et continua:

-" Ton poème est magnifique Oliver. Mais il ne faux pas mourir... surtout pour moi! Ne me donne pas ta vie, je ne saurais pas m'en occuper correctement."

Effectivement il n'y en avait pas beaucoup en faite de regard méprisant, mais ce fut comme si Oliver se focalisait uniquement sur les regard mauvais de telle sorte qu'il avait l'impression que tous les regardaient d'un drôle d'oeil. Alors il décida de n'y plus prêter attention, il ne voyait pas pourquoi il devrait accorder de l'importance à tout ces crétins,jaloux de ne pas être aimer sans aucun doute.

Apparemment, Isääk était troublé, Oliver ne comprit pas bien pourquoi, était-ce son interpretation du poème? Après tout ce n'était qu'un poème, ou alors était-ce le fait qu'il est dit que mourir ne le ferait pas regretté? C'était vrai pourtant, il n'y avait pas de quoi s'en boulversé. Oliver ne comprenait pas bien la réaction de son ami, mais préféra croire qu'en faite, s'était le soleil tapant qui avait donné le tournis à Isääk, de telle façon qu'il faillit tomber de sa chaise.

Enfin lorsqu'il se ressaisit, il lui ébourrifa les cheveux, déjà dans tout les sens, -mais il n'y prêtait plus garde, à quoi bon-, et enfin concéda à lui répondre qu'il ne fallait pas qu'il donne sa vie à Isääk, qu'il ne saurait pas s'en occupé. Apperement, il avait vraiment interprété le poème de tel façon qu'il pensait qu'Oliver serait prêt à sacrifier sa vie pour lui, au nom de l'amour, C'était peu t'être vrai en soi, mais d'une façon comme d'une autre, il ne voyait pas comment il pouvait confier (il voyait au sens propre du therme) sa vie à son ami, quand bien même il le voudrait.
A son tour il lui répondit alors:

- Tu as surement raison, mais je ne voie pas comment je pourrais te donner ma vie de toute façon, et se ne serait pas un beau cadeau, elle ne vaut pas grand chose...

Puis il commenca à se balancer sur les deux pied de la chaises. Il aimait bien faire sa...Enfin il lui dit:

-Tu sais, une vie sans amour, sa doit être terriblement ennuyeux, et triste...

En faite, il disait sa quasiment pour lui aussi, qui ne savait pas encore vraiment se que cela était d'aimer, et il avait lu ou entendu cette phrase, il ne savait plus ou, et sans même savoir se qu'était vraiment l'amour, il adhérait à cette phrase...

Une vie sans amour...

Isääk ferma les yeux avant de se laisser tomber, les bras croisés, sur la table. La tête relevés, il soupira.
Plus aucun sourire ne se lisait sur son visage. Il était maintenant renfrogné, presque triste.

Enfin, après quelques secondes, il réouvrit ses yeux et posa ses prunelles étrangement vide sur un point invisible. Il regardait devant lui, et ses sourcils étaient froncés.
En réalité, le garçon réfléchissait.

Oui... une vie sans amour...
Pour un garçon comme Isääk, qui refusait tout net l'amour des autres, cette affirmation était terriblement cruelle.
Une vie triste...
Oui, une vie triste. Il avait raison, ce garçon à ses côtés, Isääk n'était pas heureux. Mais en même temps, il n'était pas non plus malheureux.

Alors, qu'était il?

Rien, il n'était rien...
Un cocon vide, un corps sans âme, une boite sans contenance...
Il n'était rien...

Et l'amour était ce la solution pour sauver ce garçon?

Aucune idée, rien, non, rien...

Isääk soupira encore avant de tourner la tête, le menton sur ses avant bras. Il regarda Oliver.

Et s'il l'aimait, cela changerait il quelque chose?
La vie serait elle moins triste? Moins ennuyeuse?

Isääk n'avait pas la réponse. Il ne saurait cela que s'il devenait l'ami d'Oliver à part entière. Mais, il avait peur, peur de souffrir comme il avait souffert. Peur qu'on finisse par le rejetter comme sa mère l'avait fait. Oui, tout sauf recentire encore une fois cette souffrance, cette impression d'inexistance.
Finalement, il ne dit rien. Plus besoin de parler, ses yeux le faisait pour lui. Oui, Oliver avait raison, une vie sans amour était triste, mais au final, Isääk ne connaissait que cela...

L'affirmation d'Oliver semblait plonger son ami dans une intense reflexion, mais au final, il semblait se ranger sur les propos d'Oliver, sa vie ne sera pas gaie, non. Pourquoi se refusait il d'aimer, alors?
Le problème d'Isääk venait plus de lui, il se disait incapable d'aimer, mais ne voulait pas s'accorder d'essayer... Cependant Oliver garda ses reflexions pour lui même, il était parfaitement conscient qu'il en était de même pour lui, s'il craigner ne pas exister c'est qu'au fond souvent c'est lui qui n'aspirait pas à exister en tant que tel..

-Que tu le veuilles où non, je suis sur que ta vie ne seras pas dépourvu d'amour, alors, mieu vaut ne pas la fuir cet amour, sinon, c'est sur que lui aussi te fuiras..
Enfin je suis désoler de me meler à tes problèmes personnel, sa me regarde vraiment pas...

Tout en disant sa, il baissa la tête. En réalité, il aimerait beaucoup que son ami choisissent de ressayer d'aimer, et même plus, il aimerait beaucoup être aimer de lui, même s'il n'était pas sur de sa préference entre lui et Elia, mais il avait découvert que rien n'était meilleurs que d'avoir le sentiments d'être aimer par le plus de personne possible. De toute façon, il était persuader que lui il ne fairait souffrir personne, il ne voyait même pas qu'on puisse souffrir à cause de lui...

Toujours affallé sur la table, Isääk écouta les parôles d'Oliver.
Fuire l'amour...
Oui, c'était ça, il fuyait l'amour, comme la peste...
La vie ne serait pas drôle, ça c'était sur, mais tout était mieu que de souffrir encore, comme il avait souffert à cause de cette femme. Il se devait d'expliquer cela à Oliver pour qu'il comprenne qu'aimer pouvait faire souffrir, comme d'être détesté. Alors, il souria tristement avant de dire:

-" Ecoute Oliver, déja, cela ne me dérange pas de te meller à ma vie. J'espère juste que tu n'en souffriras pas."

Il ferma les yeux se disant que c'était plutôt lui qui en souffrirai, les rouvrit et continua:

-"Ensuite, je vais tanter de t'expliquer quelque chose."

Il respira à fond, conscient qu'il pourrait blesser Oliver.

-" Imagine que je finisse par t'aimer et que toi, tu choississes Elia à moi. Au final, tu me laissera tomber et je souffrirai. Cela peut être la même chose pour elle, si elle t'aime et que tu me choisit, tu la feras souffrir. Et, imagine que ce soit moi, qu'Elia choississe, que recentiras-tu? Tu en souffrirais, n'est-ce pas?"

Son sourire n'avait pas disparut, mais il n'exprimait aucune joie.

-" C'est cela que je redoute. Je ne veux plus jamais recentire ça, plus jamais, tu entend! Je ne veux pas aimer quelqu'un qui me rejettera, parce que, c'est ce qui finit toujours par arriver. Et oui, ma vie ne sera pas gaie, mais au moins, je n'aurai plus jamais cette envie de mourire. Je continuerai juste mon chemin, voila tout!"

Il s'était peut être un peu ennervé parce que dans ces parôles, il y avait de la rage et beaucoup de détermination. Il savait que c'était impossible, de ne plus aimer, et justement, il en avait la preuve vivante, juste devant lui. Oui, parce que ce garçon, il l'aimait bien, au final et il s'en voulait de s'être laisser avoir, encore une fois...

Isääk ne souriait pas. Apperement il preferait vivre mal et sans amour que prendre le risque de vivre encore plus mal. Lui n'aurait jamais fait ce choix, quoique qu'il ne connaissait pas le passé de son ami, et ne pouvait donc en rien juger.
Il voulait bien qu'ils mêlent tout deux leurs vie. Il le mit en garde cependant contre la souffrance. Oliver ne craignait pas trop en réalité cette souffrance du à l'amour qu'il ne connaissait pas. Pour lui la souffrance était totalement ailleur si bien qu'il serait prêt à courir le risque de croquer dans la pomme de l'amour.

Mais les propos suivant d'Isääk mirent en doute ces certitudes. S'il choisissait son ami, il fairait inmanquablement soufrir Elia. Peut etre inversement s'il choisissait Elia, quoique, il en doutait. Il ne voulait pas faire soufrir les gens. Lui, il se l'était depuis lontemps promi, s'il decidait d'offrir son coeur a quelqu'un, il ne le reprendrait pas.Mais c'est toujours ce qu'on se dit au début.

S'il choisissait Elia, il ferait peut etre moin de degat autour de lui, mais encore fallait t'il qu'Elia soit prête.
Enfin qu'il en choissisent l'un des deux, le trio sera coupé. Il n'en doutait pas et il ne voulait pas sa. Alors que faire?

Il n'y aurait personne d'autre qu'Elia ou Isääk il en était persuadé, et comme il l'avait dit, une vie sans amour ne doit pas être drôle. Peut être valait il mieu d'attendre?
Enfin il répondit naïvement à Isääk:

-Ne peut on pas s'aimer à trois?

S'aimer à trois?
C'était très bizarre d'entendre cette phrase, dans la bouche d'un garçon de la sorte. Parce que, ces deux mots: aimer et trois; allaient plutot bien dans la bouche d'un pervers, mais d'un jeune garçon si ignorant en amour, ça restait étrange. Sans compter que, les rêves d'enfants qui n'avaient encore jamais goûtés aux plaisirs qu'était "aimer", voyait plutot l'amour comme quelque chose d'unique au monde, que l'on ne peux partager. Mais, Oliver était si différent. Sortait-il d'une autre planête?

Isääk ne savait pas vraiment et il enfouit son visage dans ses bras croisés. S'aimer à trois, mais bien sur que non... C'était idiot, on ne pouvait s'aimer à trois...
Quoique...

Isääk soupira devant l'inocence de cette question, qui en plus, lui était destinée.
S'aimer à trois...

Isääk souria, puis se mit à rire franchement. C'était rare, il fallait en profiter. Et, c'est ainsi qu'il laissa la joie prendre le dessu. Des eclats de rire s'élevait dans l'air. Oh, bien sur le garçon ne se moquait pas d'Oliver, non, mais de cette question. Il voyait mal lui, son ami et Elia ensemble, à trois. Ca serait trop... Etrange.
Pourtant, caché dans son coeur, il aurait bien aimé être aimé d'Elia, un petit peu. Il ne savait pas trop pourquoi et à vrai dire, n'y avait pas réfléchis. Ca viendrait plus tard. Pour l'instant, il riait.

Puis, après un longt temps, il se releva lentement et regarda Oliver. Le sourire aux lèvres, il se rapprocha du garçon de tel sorte que son nez butait contre le sien.
Et, les yeux dans les yeux, il dit avec amusement:

-" Non, moi je n'aurais pas envi de partager."

A sa plus grande surprise, Isääk se mit à rire en guise de réponse. Cela le vexa un peu, mais il comprit que sa question était surement un peu niaise, alors il rit avec son ami, comme pour dire "Non, je plaisantait..." Il pensait qu'Isääk ne lui répondrait donc pas, mais contre toute attente, il avait prit la question tout de même au serieux. Il lui répondit qu'il ne voulait pas partager.
Dommage. Oliver allait donc belle et bien être confronté à un choix. Pourquoi devait il choisir? Pourquoi ne pouvait il pas les avoir tout les deux, lui était prêt à partager avec son compagnon...

Et s'il ne se dépéchait pas de choisir, et qu'Elia choisisse Isääk plutôt que lui? Il savait qu'il ne le suporterait pas.

Il s'arreta de rire, reprenant son serieux qu'il n'avait jamais cesser davoir en réalité et répondit, le coeur battant à Isääk le plus franchement qu'il le put.

-Isääk, j'ai vraiment la sensation que je t'aime. Mais en même temps, j'ai vraiment aussi la sensation d'aimer Elia. Je ne pourrait pas m'éclipser de la vie de l'un pour n'en aimer qu'un, j'en soufrirait trop...

Il regretta immédiatement de lui avoir dit sa. Déjà ses joues d'habitude si blanches devinrent écarlates. Il baissa la tête. En ce moment il esperait vraiment que son ami le comprenne, il aurait tant aimer un second baiser, mais il commençait à prendre concience du mal qu'il pourrait faire à Isääk, surtout s'il ne voulait pas partager...