Cacophonie

Lors d'un temps libre, Oliver décida d'aller à la salle de musique. Il avait un but précis. Il voulait se remmetre au violon après toutes ces années sans avoir touché l'instrument. En faite, c'était simple, il avait entendut Sibyline et Isääk parler de créer un groupe de musique, il ne voulait bien sur pas être laisser à part, au contraire voulait participer, et le violon, était le seul instrument qu'il avait déjà joué. Il ne lui vint donc même pas à l'idée de s'essayer à un autre instrument. Il pénétra donc dans la salle, où, un homme semblait accorder quelques instruments.

-Bonjour, On nous a dit qu'on avez accès libre à cette salle pour jouer d'un instrument, je voudrait essayer le violon, Pouvez vous m'en prêter un?

-Mais bien entendu, (il en chercha un dans un placard et lui tendit l'étui contenant le précieux instrument)
Tenez! Vous savez en jouer, où vous voulez que je vous apprenne ?

-Non, je sais en jouer, je prefer me débrouiller, merci...

L'homme parit donc dans la salle voisine, pour ne pas gener l'inspiration musicale d'Oliver. Ce fut désastreux. Le son était faux, malgrès qu'Oliver faisait son possible pour jouait que sur une seule corde à la fois, et ne pas poser son archer sur la touche. Il regretta d'avoir dit au professeur de musique(si s'en était un) qu'il se débrouillait. En réalité, c'était tout de même bien pire que se qu'il jouait auparavant, il avait bien perdu. Mais ne se décourageant pas, il continua de jouer... Peut être qu'il jouait faux, mais avait cette même sensation qu'avait évoqué Isääk de tout oublié, de ne plus rien entendre, d'autre que le bruit du violon. Cela lui permit au moin de faire le vide dans sa tête pendant un moment...On pouvait se demander comment il faisait, tant le bruit du violon semblait proche de celui d'un chien qu'on égorge ...Une vrai cacophonie...

Elia s'ennuyait. Ici, elle n'avait pas beaucoup de distraction et, contrairement à tout ses autres camarades, la jeune fille ne pouvait faire ses devoirs sans l'aide généreuse de quelqu'un. Ce qui, justement, l'ennuyait. Pourquoi cela l'embêtait à ce point? Tout simplement parce qu'Elia était très indépendante et refusait que les autres se plie en quatres pour l'aider. Oui, tout sauf ça...
Mais, vu que son intelligence était plutôt élevé, la jeune demoiselle n'avait aucune difficulté à suivre, même avec son handicape.

Bref, revenons en au principale, Elia s'ennuyait.
C'était l'après midi, et, les élèves avaient tous un temps libre. Alors, la jeune aveugle marchait dans l'école qu'elle paraissait connaître par coeur. D'ailleur, elle n'avait presque plus besoin de sa canne et justement, elle ne l'avait pas prise.
Ses pensées étaient toutes concentrées sur le poème du cour de littérature. Celui-ci l'intriguait bien plus que le reste. Quand, soudain, elle entendit un bruit qui lui fit dresser les cheveux sur la tête tellement il était horrible. Un fantôme? Un cochon qu'on égorge?
Elia ne savait pas trop ce que cela était, mais elle laissa la curiosité là gagner et se dirigea vers le boucant. Elle arriva devant une porte et la poussa pour atterire dans une pièce qu'elle ne connaissait pas.
Un peu embêtée, elle se maudit de ne pas avoir pris sa canne et finalemen avança à taton avant de rentrer dans une chaise qui bascula et tomba sous le choc.
Grommellant, elle vit que le bruit avait cessé.
Bon, Elia leva la main et toucha ses cheveux avant de reconnaître une odeur qu'elle appréciait. Hésitante, elle dit doucement de peur de se tromper:

-" Oliver, c'est toi? Ca va?"

Oliver était aparamment très concentré dans sa musique, il essayait de faire au mieu, à tel point qu'il n'entendit pas immédiatement le pas d'Elia arrivant. Et enfin quand il entendit une première fois ce petit bruit se raprochant, il s'arreta quelques secondes mais se dit immédiatement qu'il devait s'agir du bonhomme lui ayant prêter l'instrument. Il ne prit donc attention et se raprétait à jouer, remettant le violon avec son épaulette sur l'épaule puis au moment où il posa son archers sur les cordes pour reprendre l'horrible mélodie, une petite voie se fit entendre:

-" Oliver, c'est toi? Ca va?"

Il faillit lacher son instrument tant il était heureux de la voir, mais se retint, il avait déjà casser la fiche Jack de Sibyline, lacher ce violon lui aurait fait trop de frait. Il le reposa donc délicatement dans son boitier avant d'aller embrasser Elia sur les deux joues, d'un enjouement inhabituelle.

-Salut! Bah oui, qui voulais-tu que se soit? Je suis venu ici m'entrainer au violon pour pouvoir jouer avec Isääk. Tu as entendus? tu trouves que c'est bien?

En réalité, il n'avait pas entendu sa musique telle qu'elle était vraiment, il avait tendance dans ces cas, à entendre uniquement se qu'il voulait entendre, c'est à dire, les rares accord de juste, se bouclant ainsi dans son monde à lui.

-C'est génial cette salle, il y a un nombre incroyable d'instruments à notre disposition et on aura peut être même des cours prochainement...
(Prenant un Triangle) Tu as vu? Tu savais toi qu'il existait de si simple instrument?

Il le toqua avec le petit barre fait à cette effigie.

-Comment un si simple instrument peut il produire une aussi agréable, certe unique, mais tout de même note dans les aigue?

Pour lui c'était la première fois qu'il voyait tout ces instruments. Il n'y connaissait pas grand chose à par le violon... De toute façon, durant cette periode de guerre, les artistes se faisaient plutot rare, et on avait rarement l'occasion de découvrir de nouvelles choses...

Quand Oliver l'avait embrassé sur les deux jours, la petite Elia avait rougit jusqu'aux oreilles tant elle était génée. En réalité, elle ne s'habituait pas à toute ces marques de tendresse qu'elle recevait de la part d'Alathéa, d'Isääk mais surtout d'Oliver. Alors, pour cacher sa gène, elle sourit maladroitement, mais aparament, le jeune garçon ne l'avait absolument pas remarqué. Déçu mais en même temps très soulagée, la rouquine écouta attentivement les parôles de son ami.

En premier lieu, il lui demanda si elle trouvait qu'il jouait bien. Ah bon? Parce que c'était de la musique? Elia ne put s'empecher de rire doucement avant de reprendre son sérieux. Oliver parraissait vraiment enthousiaste à l'idée de jouer des instruments et se moquer de lui n'amènera a rien. Et puis, cela aurait pu être pire, elle en était sur...

Bref, elle écoutait toujours son ami parler et parler et encore parler sur la musique. La jeune aveugle, elle, adorait tout sorte de mélodie, mais la seule chose qu'elle savait faire, c'était chanter.
Haussant les épaules, elle entendit le garçon lui ramener un petit objet devant les yeux qui émit un son très agréable. Souriant, elle prit la main d'Oliver et dit doucement, comme pour refreiner cette énergie positive qu'elle aimait tant:

-" Oui, j'entend... C'est très jolie, qu'est-ce que c'est?"

Ses doigts parcoururent l'objet que son ami tenait entre ses paumes.

-" Vraiment très jolie..."

Puis elle leva la tête et sourit à l'adresse d'Oliver.

-" Qu'y as-t'il d'autre comme instruments?"

Non, Oliver ne remarqua pas lorsqu'Elia rougit , sans doute du faite qu'il se demandait pourquoi à cette instant il rougissait. Heuresement que Elia était aveugle, mais peut être qu'il aurait aimé qu'Elia le voit rougir, si sa lui permettait de lire sa pensée. Ainsi Elia aimait sa musique? Il n'avait pas trop perdue finalement:

-Chouette, je vais pouvoir épater Isääk alors, et lui montrer que moi aussi je joue du violon. Tu l'as déjà entendu jouer? Il joue vraiment bien...

Après qu'il lui eut montrer le triangle, les doigts d'Elia le saisit, et à l'instant de l'echange de l'objet Oliver frémit au contact de ses doigts. Il en lacha le triangle qui tomba avec un joli bruit sur le par terre, et ce bruit résonna lonptemps comme une note aigue dans la salle. Heuresement, ce n'était pas fragile. Oliver s'attendait a venir voir l'homme rouspecter pour le manque du respect du materiel, mais celui-ci ne se montra pas. ouf. Il n'avait probablement pas entendu. Il répondit alors à Elia:

-Je ne sais pas trop, la plupart je ne les connait pas. Tien sa je connais c'est une Maraca.

Il la secoua et lui tendi.

-Oh et la, c'est un piano

Il se dirigea vers le centre de la piece tirant delicatement les doigt d'Elia, contenat encor la maraca et lui fit pressé quelques touches, afin qu'un doux son ne s'échappe du clavier.

-J'ai du apprendre un air à l'école de musique, attend écoute.

Il joua alors "frère Jacques", et il joua beaucoup mieu cette mélodie enfantine qu'il ne jouait du violon. Cependant Elia ne connaissait peut être pas. Ce n'était plus aussi connu qu'autrefois, et Oliver lui même ignorait les paroles, connaissait juste l'air en faite...

Elia se sentit doucement transportée a travers la pièce. Puis, sa main dans celle d'Oliver, elle toucha ensuite un piano ou un instrument de la même sorte. Les joues toujours un peu rouge, elle sourit au contact de l'instrument et, quand celui ci produisit un son, elle ne put s'empecher de pencher la tête sur le côté, comme quand elle était petite fille et qu'elle apprenait quelque chose de nouveau.
Et, enfin, après quelques temps, Oliver joua un air de musique qu'elle ne connaissait pas. Rappelons le, Elia n'était jamais allé à l'école et avait tout appris avec sa grand mère.

Au début, elle écouta, un sourire sur les lèvres et les mais entrelacés dans son dos, puis elle chantonna et finalement posa sa main délicatement froide sur celle du garçon. Le maraca fit un son grave et Elia dit:

-" Apprend moi..."

Elle souriait, le visage serein et concentrer.
Le jeune aveugle était tout contre Oliver et sentait l'odeur qu'elle aimait tan, parmis tant d'autre...
Ainsi, elle avait envi d'apprendre et, pour la première fois depuis le début, elle demandait de l'aide.

Oliver était tout content de pouvoir apprndre quelques chose qu'il savait faire à son amie. Il prit donc son doigt(dElia) et le dirigea vers ce qu'il lui semblait être le fa.(en réalité s'était le sol)., et il lui fit presser la douche puis reprit sont doigt et pressa la touche suivante ainsi de suite tout en prononçant les notes:

-Fa.. Sol.. la... Puis tu revien sur le Fa, FA.. sol... la...fa
Puis la...si... do... sur le do tu laisse ton doigt apuyé un peu plus lonptemp.

Voila ressaye cette ligne la, tu va devoir mémoriser les touches, mais au piano, tu n'es pas moin bien loti que les autres, puisque tout les touches sont pareils, il faut donc aussi pour nous les savoir par coeur. D'ailleur je me demande si je te fait jouer sur la bonne touche au moin...

Oliver suait, pas à cause de la chaleur, mais il était tout fier de pouvoir aprendre quelques chose à son ami, guidant son doigts vers les differentes touches du piano...

Elia enregistra les touches les unes après les autres. Et, chaques son s'inscrivit dans sa mémoire, puis, peu à peu elle réussit à jouer parfaitement le morceau que lui avait enseigner Oliver.
Le sourire sur son visage s'agrandit, elle se sentait heureuse comme jamais. Elle joua, joua, joua et la musique rettentit dans l'enseinte de la pièce avec une mélancolie sans nom. Cette tristesse était celle inscrite dans le coeur d'Elia, et on avait l'impression qu'elle se ressentait dans sa musique...

Puis, quelques seconde plus tard, elle se stoppa et se retourna brusquement. Elle se tenait tout contre Oliver, et elle souriait. Elle sentait qu'il avait chaud, elle aussi d'ailleur, alors, tout doucement, elle recula jusqu'a toucher le piano. Les mains sur le rebord des touches, elle était coincé entre lui et son ami. Mais, cela ne la dérangeait pas, au contraire. Enfin, elle sourit et dit doucement:

-"Merci! Alors, c'était comment?"

En réalité Oliver n'écoutait que peu, il entendait une musique crystaline puisque qu'elle venait des doigts d'Elia, peut être qu'en réalité, ce n'était pas plus mélodieux que le son du violon d'Oliver. Mais pour lui l'air était magnifique. Il ne détachait pas les yeux de ceux de la fille à ses cotés, et vraiment trouvait l'ensemble merveilleux.

-C'est super, tu es vraiment doué. Maintenant voici la suite.

En réalité, il ne connaissait plus la suite, et il improvisa la suite en appuyant sur différentes touche, rendant le frère Jacques légerement plus gai(il appuyer sur enormement de touche à la fois). Puis reprenant son air de professeur;

-Voila, tu as retenu les touches? Vas-y à toi

Oliver réellement était aux anges, il voulait que ce moment s'éternise le plus possible. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait l'impression, que c'était dans ce genre de moment, qu'une Sibyline arriverait comme dans sa douche, pour lui gacher son plaisir. Il ne lui avait pas encor remi la fiche Jack mais n'était pas impatient de le faire. Il chassa ces idées noir de sa tête, et se reconcentra sur la crystalinité de la mélodie d'Elia...

Elia tira la langue et se reconcentra. La musique grandit un peu, mais malgrès les fausses notes, la jeune fille fut plus ou moins satisfaite d'elle même. C'était la première fois qu'elle jouait, et elle sentait la musique vibrer en elle, puis danser et s'éterniser. Elle se sentait bien, elle adorait jouer et apprendre, mais surtout, elle ne savait pourquoi, elle aimait quand Oliver prenait son rôle de professeur.
Oui, d'ailleur, pourquoi?
Les yeux éteinds de la jeune filles se fendirent en deux petites lunes et ses sourcils se froncèrent. Pourquoi se sentait-elle bien ici, mieu qu'avec Alathéa ou Isääk?
Elle ne savait pas, et puis, finalement, elle s'en fichait un peu.

Une fois qu'elle eu finit la mélodie, elle se retourna et posa ses yeux éteind sur le visage de son ami. Si elle avait pu voir, Elia l'aurait détaillé, mais maintenant, elle ne faisait rien de plus que de sourire bêtement.

-" Je ne suis pas très douée..."

Elia chercha un temps à taton et finit par poser sa main sur celle d'Oliver.

-" Joue... J'aime quand tu joues..."

Bon, pas du violon, mais du piano, il était déja plus doué.

C'était évident qu'Elia n'était pas doué étant donné que Oliver prenait le rôle du professeur, alors qu'il ne savait pas non plus jouer. Il se contentait d'apuyer sur des touches, essayant tout de même d'être le plus armonique possible. La main d'Elia gagna la sienne et un frisson lui parcourant l'échine lui dressa les cheveux sur la tête. Elle lui affirma qu'elle aimait quand il jouait, alors qu'il avait la sensation d'absolument pas savoir jouer. Il n'avait jamais eu de cour de piano, seulement de violon.

-Si tu veux, je peux te jouer du violon, j'y joue bien meiu...
Bien sur que si tu t'en sort, seulement tu devrait prendre des cours de piano, et je penses que tu pourrais être très doué...

il laissa tomber une main derrière lui pendant qu'elle jouait, et commenca à la carasser tendrement le dos, bas trop bas tout de même bien sur..

Quand Oliver parla de violon, Elia eu du mal à reprimer une grimace. Oh non, pas de violon, pitier...
Mais, heureusement, il n'en fit rien.
Soupirant de joie, elle se remit doucement à jouer ce morceau. Elle l'aimait bien, même si elle le jouait plutôt mal. Enfin, l'important était de participer non?
Bref, elle jouait lentement, puis vite, puis lentement. Un vrai bazarre de notes et de sons totalement différents. Mais, au moins, Elia souriait, et cela, c'était une vrai victoire.

Puis, doucement, elle sentit une main dans son dos. Au début, elle ne dit rien, trop surprise. Mais elle sentait les frissons lui remonter dans l'échine et le coup. S'en était trop, Elia ne savait absolument pas comment réagire, et, elle prenait peur de ne plus rien contrôler. C'était cela son problème, à Elia, elle avait peur de tout, même si elle aimait apprendre.
Alors, elle se retourna, partagée entre l'envi qu'Oliver continue et s'arrête.
Mais pourquoi faisait-il cela, alors que c'était si simple de s'en tenir à de l'amitié? Et, si elle ne s'en tenait qu'a de l'amitié, serait-elle heureuse?
Non, elle ne savait plus, elle ne voulait plus savoir, elle aurait voulu s'enfuire en courant mais, son corps ne semblait plus obéir à sa pensée.
Elle saisit donc les mains sur garçon, qu'elle atteignit sans problèmes et lui souria, tendrement.

-" Je suis nulle Oliver, je ne sais pas jouer, et même en apprenant, je doute que je réussirais à sortire quelque chose de bien. J'en suis consciente tu sais... Mais... je..."

Elle n'arrivait pas à terminer sa phrase. Elia voulait dire tan de chose, et sur le coup, elle regretta de ne pas être aussi douée qu'Isääk...

-" J'ai d'autres qualités..."

Olalalala...
Elia devait passé pour une véritable gourde.

Elia semblait très géné par la main balladeuse d'Oliver, et celui-ci en fut d'autant plus géné. Il se maudit interieurement, il était vraiment nul. Il retira instantanément la main et se leva. Il voulait disparaitre, qu'elle ne le voie plus. Il s'en voulait de se qu'il avait fait, même si en soit il n'avait absolument rien fait de mal. Elia lui affirma alors qu'elle était nul, et que même si elle apprenait, elle ne serait jamais doué. Oliver n'était absolument pas de cette avis, mais ne voulait plus parler, voulait se renfermer dans sa bulle protecrtice dans laquelle il était si bien. Elia ne voulait pas partager son monde, il y retournerait seul.

Il se leva alors du banc et dit simplement à Elia;

-Joue, s'il te plait, ne t'arrête pas...

Et en même temps il ressortit le violon de l'étui et se remit à jouer. Cette fois s'était moin faux que précedemment, peut être le fait qu'Elia l'accompagnait, il faisait inconsciamment la maximum d'effort pour jouer bien. c'était loin d'être top tout de même. Mais sa resdtait dans l'audible cette fois-ci. En jouant, il ne pensait plus à rien. Sa bulle se renfermé autour de lui, il redevenait invisible...

Jouer...
Mais Elia n'avait plus envie de jouer.
Dans sa tête, se battait deux idées pour le moins étrange. La première était de s'enfuire en courant et la deuxième de parcourir la salle pour rejoindre Oliver qui avait disparut. Seulement, les deux était contradictoire et en choisir une détruirait tout l'espoire de l'autre.

Elia se tordit machinalement les mains, elle était très génée et ne savait pas du tout comment réagire.
D'un côté elle aimait beaucoup Oliver, vraiment beaucoup et peut être plus qu'un ami, mais de l'autre, elle avait peur de quitter la tranquillité qui s'était installé depuis qu'elle était ici. Mais, sa peur la plus profonde était de porter malheur à ce garçon. Oui, combiens de fois les gens de son village l'avaient répétés: "tu porte malheur Elia, on ne veux pas de toi..."
Et si, finalement, c'était vrai ces histoires, et si, Elia portait malheur. Et si Oliver subissait cela lui aussi, et si on le rejettait comme elle, et si il...mourrait comme eux...

Seulement voila, aucun être humain ne peux vivre seul, aucun être humain ne peut s'épanouir avec des pensées destructrice.
Elia le savait, ça, elle en avait fait l'expérience.
Et si Oliver la laissait tomber, comme maintenant, elle en mourrait de chagrin et ne redeviendrais plus cette petite fille souriante et fragile qui se tenait devant un instrument. Non, elle ne redeviendrais plus cette enfant qui avait des amis et se fichait royalement du lendemain s'ils partageaient sa vie...

Alors, le visage résolue, elle se leva, butant contre le piano et parcouru la salle guidée par le bruit du violon. Elle arriva, non sans mal, devant son ami et posa sa main sur celle d'Oliver. Le bruit cessa et Elia put enfin parler, à sa guise, les joues rouges mais le visage souriant cette fois ci.

-" Reste avec moi. Ne me laisse pas seul, j'ai besoin de toi!"

Elia avait compris qu'Oliver s'enfermait dans son petit monde, tout comme elle le faisait parfois. Et ces parôles ne parlait pas d'un lieu, ou autre, non, simplement de rester présent, de ne pas la laisser seule ici. Elle le savait, elle avait besoin de lui. Oui... Elle en avait vraiment besoin, parce que finalement... Elle l'aimait beaucoup...

Perdu, dans un flot, de pensée, perdu dans son monde, sa bulle, plus rien ne contait à ses yeux. Ou était Elia, Qui était Isääk? Pas la moindre idée de réponse, il n'exisataient plus pour lui, à moin que ce fut lui qui n'existait plus dans leur monde à eux. Les mains d'Oliver jouait comme un autochtone, c'était peut être pour sa que sa jouait faux, parsqu'en réalité c'était plus son corp qui jouait, mais l'âme n'y était pas, elle demeurait à l'interieur de lui même, dans son coeur, qu'il essayait de taire, car il lui disait "Court vers Elia vite!" Mais il ne l'écoutait plus. Qui était-ce déjà Elia? Il se sentait disparaitre, mainte fois il avait déjà eu ce sentiment...

Une voie lui fit reprendre la raison. Elia. So conscient ressurgit dans son corp en l'espace d'une seconde la musique du violon devint armonieuse. Elia. Mais quelle imbécile il était, il lui avait promi de la proteger, alors pourquoi en ce moment essayait il de se soustraire à ce monde? Elle, elle avait besoin de lui, et lui avait besoin d'elle pour rester de ce monde. Il posa alors le violon, et s'en dire un mot, lui parlait avec les yeux, avec se regard vert sur expressif, il était sur qu'elle avait comprit, même si elle était aveugle, il savait qu'elle avait percut son regard. Il la serra alors dans ces bras.

-Non, je t'abandonnerai jamais, je te l'ai promi...

Le temps s'arreta, mais il ne retournerait pas dans son monde tant qu'Elia serait la. Son coeur satisfait de la décision commença à battre intensivement dans sa poitrine, En cet instant, il ne voulait pas la lacher, il voulait etreigner le monde, même si Sibyline était la, il l'étreignerait également. Il ne voulait pas être invisible, et avait peur de redisparaitre à nouveau.Il avait besoin d'Elia, comme elle, avait besoin de lui...

Elia souriait toujours.
La musique avait cessé et son ami était revenu à lui. Oui, il était présent, avec elle, elle le sentait à ses côtés. Oliver là regardait, Elia le regardait. Et, malgrès le handicap de la jeune fille, il régnait comme un fil invisible. Elia avait compris, Oliver aussi, et cela, sans parler ni emmetre aucun son. N'était-ce pas merveilleux?

Oui, peut être, mais au fond, Elia avait peur qu'Oliver subisse le malheur qu'elle avait vécu, des années plus tot. Oui, elle avait peur, et même si celle ci n'était pas fondée, elle était inscrite dans son coeur, comme une marque invisible et impossible à éffacer.

Et, soudain, Oliver se leva et là pris dans ses bras lui murmurant ces parôles, qu'elle avait tellement voulu entendre.
"Je ne t'abandonnerai jamais...". A elle, on ne lui avait dit qu'on ne l'abandonnerai pas. A elle, on lui avait dit qu'on n'en voulait pas, comme un petit animal enragée ou malade.
Alors, que ce garçon qu'elle aimait tant lui dise de tel parôles, cela là rendait heureuse, vraiment heureuse.

Elia sentait et entendait le coeur d'Oliver, tout contre sa poitrine. Elle sentait également ses bras, le longt de son corps fragile et terriblement osseux. Mais, aucune gène ne vint, aucune...
Bizarre, car quelques temps plus tôt, elle était plus que mal à l'aise. Maintenant, elle souriait.

Puis, après quelques temps, où la surprise avait raidit son corps, Elia finit par faire une chose qu'elle regretterait ou pas. Elle verait plus tard, maintenant, seul les sentiments parlait pour elle.
Alors, avec toute la douceur dont elle était dôté, Elia enlaça à son tour le garçon et posa sa tête tout contre son torse, non loin de son coup. Les yeux clos, elle respirait l'odeur qu'elle aimait tant...

Elia se sentait protégée et avait l'impression de protéger un peu, en retour. Mais surtout, elle ne voulait pas bouger, ici, dans ses bras, elle se sentait tellement bien qu'elle oubliait les autres, qu'elle oubliait le reste et même la pièce où elle se trouvait. Oliver partageait son monde, il partageait sa vie, sans rien lui avoir demandée en retour, même pas son passé ni d'où elle venait. Et cela, elle lui en était tellement reconnaissante.

Ses mains serrèrent un peu plus fort le corps du jeune homme et elle s'avança encore un peu. Enfin, elle murmura ces quelques parôles:

-" Moi non plus, je ne t'abandonnerai pas... je..."

Elle ne termina pas sa phrase, les mots ne sortaient pas.
Aucune parôles ne pouvait décrire ce qu'elle reçentait en cet instant. Tout ce qu'elle voulait, c'était rester ici, et que ce moment ne s'arrête jamais...

Cette fois, contre toute attente, Elia, ne fut pas géné de l'étreinte du garçon aux cheveux blanc, au contraire, elle semblait heureuse. Il ferma les yeux, ainsi ni l'un ni l'autre ne pouvait se voir, a quoi bon de toute manière, puisqu'ils se voyaient tout de même à leur manière? Il lui suffisait d'écouter le poul d'Elia battre, pour qu'il sache immédiatement quel étaient ses sentiments, enfin pas tous, mais il savait qu'elle appreciait ce moment autant que lui. Il ne sait pas combien de temps dura cette instant, et même les moquerie de Sibyline ne saurait le séparer d'Elia à cette instant. Enfin, il recula d'un pas, mais ce fut pour appuyer son doigt sur un appareil à musique juste à coté de lui. Il n'avait pas la moindre idée de quel musique il s'agirait, mais il s'en moquait.

Ce fut du Beethoven. Il ne connaissait absolument pas, mais de façon completement décallé avec la musique, il décida de faire le fou, et prit la main d'Elia et commença à la faire virevolter au son des "quatres saisons". Il reconnut quelques instruments dont le plus présent il lui semblait était le violon. Il s'apercut alors devant cette virtuosité à quel point il ne savait pas jouer. Qu'importe, il continua d'approviser une danse loufoque, devant les yeux du professeur de musique, qu'il n'avait pas apercut mais qui cependant se trouvait au fond de la salle, les regardant jouer du piano, violon puis danser. S'il n'intervenait pas s'était uniquement pour voir avec quel passion ils jouaient sans savoir jouer, car s'était la plus beau selon lui, sans même regarder ou plutôt écouter les fausses notes. Il ne les interomprerait pas non plus dans leur danse, d'un genre tout a fait particulier et révolutionnaire, il n'avait encore jamais vu quiconque danser sur du Beethoven.

Oliver ne savait que penser, il préfera s'avstenir de penser. Les décors tournoyaient autour de lui, et la musique Béethoven s'était transformé en diverse chant d'oiseaux, et autres bruit pour le moin romantiques d'animaux. Il éprouva ce moment avec tant d'ardeur, qu'il ne savait s'il avait déjà été aussi heureux qu'à cet instant là. Danser, ne plus s'arrêter. Il avait beau ne pas être dans sa bulle, il préférait cet instant. Cela valait plus qu'un baiser d'Isääk, c'était comme rêver éveillé. Il était un oiseau qui s'envolait dans les airs, un coq. (Il ne savait pas les coqs ne savent pas voler). Un cri sortit alors de sa gorge qui le surprit surement autant qu'Elia:

-Cocoricooo!

Que lui arrivait'il? Perdait-il la raison? Il était peut être fou à lier à cet instant mais il était heureux, et il comprit que pour se satisfaire d'un rien, rien ne valait la Folie, la Folie, était encore plus belle que l'amour, quoiqu'elle pouvait y être très étroitement lié. Il voulait qu'Elia l'accompagne dans sa folie. Tout le monde, monde qui à cet instant était à ces pied, ce monde qui ne saissait de l'émerveiller par sa splendeur et sa beauté. Avait-il été sot pour préféré son monde de renfermement et d'inexistance à la magie de celui-ci? L'espace d'un instant il comprit, peut être grâce à Elia, le sens de la vie. Ce n'était pas l'amour qui rendait le plus heureux, mais bien la folie...

Oliver enfin commençait à grandir, l'enfant évoluait, il lui restait encore tant à découvrir, mais c'était déjà un grand pas dans sa vie d'adulte. Il aurait moin peur d'affronter la réalité à présent, si du moin Elia restait à ses cotés...

[Je crois que je n'est jamais était autant inspiré, merci Madame la ptit'folle]

L'instant ne dura, comme le mot le disait si bien, rien qu'un instant. Mais, dans le coeur de le petite Elia, le temps n'avait plus de prise, plus rien d'autre ne comptait qu'elle et ce garçon. Les minutes passaient, elle ne pensait à rien. Tout sentiments, toute trace d'existance avait disparut. Il ne restait plus que son corps entrelacé avec celui d'un autre.
Qui aurait deviné que cette enfant, si sauvage, se trouve dans une situation comme celle là? Qui aurait deviné qu'Elia puisse aimer quelqu'un d'autre, plus même, que sa propre vie?
Personne ne pouvait se venter d'avoir prédit cela, personne... sauf peut être la femme aimante qui l'avait recueillit, sa grand mère.

Puis, après quelques temps passé dans une position confortable et terriblement génante pour autruit, Oliver recula et appuya sur quelque chose. Elia n'identifia pas quoi avant qu'une musique terriblement belle s'élève dans les airs, comme un petit oiseau.
Elle ne reconnu pas l'aire de cette musique, ni son auteur. Mais, dans ce méli mélo de notes enivrante, la jeune fille se sentit transportée la main dans celle du garçon vers une danse effreinée.

C'était comique, ce petit duo de jeunes adultes entrain de danser dans une pièce. Totalement décallé même, et pourtant, cet accès de folie les rendait si attachant...

Elia, elle, ne contrôlait plus rien. Et puis, finalement, elle n'avait jamais rien contrôlée alors...
Bref, elle dansait au son de la musique, virvolletait comme une folle, riant aux propos de son ami, mais, s'amusait tellement.
Son handicape avait été oubliée, il n'existait plus. Le noir c'était teinté de plein de couleurs, elle voyait, pour la première fois, un monde à son image: beau et enivrant.

La peur? Oubliée.
Tout, tout avait disparut depuis qu'Oliver était là. Il la transportait dans un monde de folie où les limites n'existaient plus.
Ce que les autres pensaient? On s'en fichait.
Alors, la jeune fille chanta de sa voie crystaline sans que cela aille ou corresponde aux notes. Tout n'était que cacophonie...

Et, dans ce méandres de pas et de chant, Elia souriait comme elle n'avait jamais sourit. Ses paupières étaient close, mais on devinait l'amusement dans ses yeux éteind, alors qu'un large croissant fendait son visage en deux. Elle souriait, chantait, dansait...
Mais où était passée la petite fille craintive et génée?
Elle avait disparut derrière une jeune femme beaucoup plus assurée qui devenait un peu folle et qui, finalement l'avait toujours été.
La vie était si belle en cet instant pour une enfant décallée par rapport aux autres et toutes les médisances à son égard s'était envolé derrières les murs de cette pièces, loins d'elle. Tout les préjugés à son égard avait disparut de sa mémoire, elle n'était plus l'enfant sauvage qui portait malheur mais une petite fille complêtement folle à liée qui dansait avec quelqu'un du même accabit.

Et peu importait le professeur qui les regardaient avec de grand yeux étonnés se demandant surment s'ils ne s'étaient pas échappé de l'asile, les deux enfants danseraient quand même, leur vie se résumait maintenant à ces pas incohérants qui se mellait à une musique incohérante.

[hg: Arrête tu vas me génée... Embarassed

Mr^^]

Professeur de musique Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 30/04/2007

Après avoir donné le violon à Oliver, le professeur s'en était aller à son burau regler quelques petits détails concernant l'achat des différents instruments pour son cour, dont il aurait besoin. Il revint seulement lorsqu'il eut finit sa petite liste à l'intention du directeur. Dans un premier temps il se demandait avec quel argent Arthur O'Liar acheterait i les instruments dont il avait besoin. L'argent du jeune Owen bien entendu...

Depuis le début Justin était donc restait au fond de la salle. Il éccoutait et regardait les enfant s'amuser avec plaisir. Pour lui, rien que sa c'était de l'art... Savoir s'amusé c'était beaucoup de choses et peu semblaient encore en être capable. Il regardait notemment la jeune fille qui se mit soudain à chanter. Il fut tout surpris que cette jeune personne d'apparance timide et un peu renfermé sur elle même puisse posséder une telle voie. En effet la voie était réellement crystaline, et dépourvut de défaut sonore. Elle avait de toute évidence du talent, même si cette voie était en parfait désacort avec la musique, on savait a quel point elle était belle. En réalité selon lui, bon nombre possédait du talent mais très peu savait l'exploiter...

Il applaudit, sincerrement dévoilant ainsi sa présence. Il ne put même s'empecher d'ajouter un:

-Magnifique, vraiment.

Il leur souriait. Il n'avait pas encore remarqué qu'Elia était la petite aveugle bien que O'Liar lui en avait bien sur parler, décrivant quelques soit peu chacun des élèves qu'il aurait. Il leur sourit à chacun d'eux. Il avait bien entendu également aussi regardait avec une satisfaction accru le cour de piano d'Oliver pour Elia. Il doutait qu'elle en aurait retenue grand chose vu que son professeur n'était pas plus doué qu'elle, mais se qu'il lui plaisait était l'amusement de chaque moment des deux adolescants découvrant ce monde fantastique qu'était la musique...

Oliver vivait ce moment comme un rêve. Elia jouait le jeu, et en parfaite osmose les deux fous dansaient à présnets, au son de la musique. Ce fut comme si leurs esprits en cet instant était entremelé. Puis contre toute attente, la jeune aveugle se mit à chanter.

Le chant d'Elia soulevait le coeur d'Oliver. Elle avait bien caché son jeu, qui aurait put croire que cette petite timide puisse avoir une voie pareil? Une voie qui ne demandait qu'à sortir de sa bouche. S'en était elle seulement déjà rendue compte? Il se demandait vraiment si c'était l'ivresse de la musique et de la dualité entre eux deux qui lui faisait croire qu'elle avait vraiment une jolie voie, ou si c'était véritable. En tout les cas, il accompagnit le professeur qui apparement était la sans doute depuis le début à les regarder, en applaudissement.

Puis il la serra de nouveau dans ses bras un bref moment en lui disant:

-Woaw, tu chantes trop bien Elia...

La voie d'Elai était vraiment tres belle même si elle ne s'accordait absolument pas avec la musique. Celle-ci prit fin, et il était épuisé. Il stoppa donc l'appareil, afin de souffler un peu. Reprenant conscience , il se rendit compte à quel point avait il était sans doute ridicule aux yeux du professeur, lorsqu'il jouait du violon puis du piano, et enfin leur danse sur du Beethoven, une cacophonie des plus amusantes sans doute...

Le professeur de musique intervient ensuite dans leur petit accès de folie, il ne cassa rien, ramenant juste les deux à la réalité. Mais ce ne fut pas sa présence qui troubla Elia. En effet, elle savait qu'il était présent, même si elle l'avait oubliée pendant la douce cacophonie et la danse. Non, ce ne fut pas cela qui vint rendre la gène et la timidité à cette jeune enfant. Ce fut quelque chose de plus important, quelque chose qu'elle ne savait pas.
"Tu chantes trop bien Elia...magnifique..."
Juste ces quelques mots firent rougire doucement la petite aveugle, ramenant des couleurs sur son visage d'origine si blanc.
Ainsi, elle chantait bien. C'était étrange, parce qu'on ne lui avait jamais dit, mais surtout car c'était la première fois qu'elle osait chanter devant quelqu'un. Et là, à défaud d'une personne, il y en avait deux, qui plus est un professeur de musique.

Mais, peut être se moquait il d'elle...
Non, ça n'en avait pas l'aire, car leur voie était entousiasme, autant celle d'Oliver que celle du professeur.
Alors, elle croisa lentement les mains derrière son dos et sourit. Ses lèvres se retroussèrent sur ses dents blanches, les dévoilant. Ses yeux se fendirent en deux petites lunes bleutée et elle se pencha lentement en avant.

-" Je... Merci."

Qu'y avait-il de plus à ajouter?
Rien, de toute manière, elle était trop renfermée sur elle même pour pouvoir chanter à nouveau devant eux.
Alors elle souriait bêtement, ne regardant nulle part, de toute manière elle ne pouvait pas, les mains dans le dos, se balançant de droite à gauche.

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La jeune fille sembait gener par l'intervention de Justin, et celui ci ne se laissa pas abuser plus lonptemps lorsqu'il apercut les yeux bleu translucide d'Elia, Il s'agissait bien de la petite aveugle qu'O'Liar avait mentionné. Doucement pour ne pas l'effrayer, il s'approcha de la jeune aveugle donc, et lui dit posement:

-Avoir un don nécessite une responsabilité accru. Tu as eu comme don une forte jolie voie, il va donc falloir que tu la développes du mieu que tu pourras, car tu n'es pas sans savoir du desespoir de la France en guerre, une voie comme la tienne saurait redonner confiance à beaucoup. Si tu le souhaites, je te donnerait quelques court de chant.

Puis il se tourna vers Oliver:

-Quant à toi je n'ai qu'un conseil à te donner, abandonne le violon, peut être que tu n'es pas fait pour sa au fond. Je ne suis pas sur que le piano te réussisse davantages, mais je suis persuader que chacun avons un instruments, avec qui on pourrait s'entendre à merveille, aussi je t'en ferait essayer bien d'autre...

Il esperait ne pas avoir blesser le jeune garçon par sa franchise, mais il fallait mieu que quelqu'un le lui dise qu'il jouait comme une casserole, cela lui éviterait bien des brimades de la part de ses camarades...

Comment ce professeur aurait il la prétention de donner des cours de chant à sa place, alors que c'etait lui qui avait permi la découverte de ce don? Mais il n'en était tou bonnement pas question. Il répondit alors:

-Je ne sais pas si Elia chante suffisemment bien pour sa, en tout cas moi aussi alors je viens...

Puis alors le professeur commença à lui dire qu'il ne jouait pas bien du violon, ni du piano! Quoi? Comment pouvait t'il dire une chose pareil? Bien sur que si il jouait parfaitement bien du violon. Il allait même le montrait à Isääk. Ce professeur ne manquait pas d'orgeuil. Cela le siderait même qu'il puisse dire une telle chose à un élève.

-Bien sur que si je joue très bien même, du violon. C'est difficile c'est tout, jouez y vous pour voir...

La, Oliver commenacit à prendre la grosse tête. Mais ce professeur l'ennervait, par le comportement qu'il avait d'une part envers Elia, puis avec lui. En réalité, Oliver était un peu jaloux, et regretterzit vie ces mots prononcé envers le professeur, qui pourrait pour moin que sa, le punir bien evidemment...

Elia souria mélancoliquement.
Ah, oui, la guerre. Elle l'avait presque oubliée celle là à force de cotoyer les personnes de cette école. Comme quoi, son propre bonheur suffisait à quelqu'un qui finissait par oublier les autres et les laisser derrière eux. Ce comportement humain était un peu égoïste et Elia s'en rendait compte.
Ses joues s'empourpraient peu à peu en entendant les parôles du professeurs.
Chanter, et en publique. Ca non, elle ne pouvait pas, elle ne pourrait jamais...
Oui, mais si elle refusait et qu'elle aurait pu donner un peu d'espoire aux autres par sa voix, alors, elle serait cette personnes égoïste et méchante qu'elle détestait tant. Aider les autres, ne serais-ce qu'un peu, c'était peut etre cela le but de sa vie?

Elia ne savait que faire, tout tournait et retournait dans sa tête. Alors, la rouquine baissa le menton, posant ses yeux bleu et vide sur le sol, ses cheveux cachant son visage. Elle était timide, ne l'oublions pas.

Puis, le professeur continua sa tirade et parla du violon et d'Oliver. Oui, ça c'était sur, le garçon était nul pour jouer du violon, mais du piano, il s'en sortirait beaucoup mieu. Elia approuvait avant qu'Oliver se rétracte.
Il semblait mécontant, mais quoi de plus normal quand on apprenait qu'on ne pourrais jamais jouer parfaitement du violon?

Alors, Elia soupira et pris la main de son ami. Elle serra sa paume et entrelaça ses doigts dans les siens avant de parler d'une voix timide:

-" Oliver, calme toi... Mais, je crois qu'il à raison. Tu es beaucoup plus doué pour le piano..."

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Justin laissa passer le petit enervement du garçon, sans trop broncher. Sa réaction semblait eccessive, mais il n'allait pas commencer à le punir, il était tout à fait normal pour un enfant de se revolter lorsqu'on lui disait qu'il n'était vraiment pas doué pour tel ou telle chose. Elia quant à elle semblait gênée par la proposition. Mais il était clair que s'il donnait des cour de chant, se ne serait pas uniquement pour elle, mais pour tout les élèves, Oliver y comprit. Il ne ferait pas de cas à part, d'autant plus qu'il y avait d'autre voies phénoménales dans le petit lycée, qu'il faudrait qu'il sache exploiter au mieu. En première vue, les élèves du lycée, du moin ces deux la semblaient passionnant. Le but du jeu était simple, trouver le don artistique de chacun, si tant est qu'il existe. Mais Justin était persuadé que oui. Alors il reprit la parole, confiant en lui même:

-Au fait je me présente, je suis le professeur de musique, Mr Petain. Vous vous devez être miss Stirman si je ne m'abuse, et vous...

En réalité il n'avait pas la moindre idée du nom d'Oliver, Il savait celui d'Elia tout simplement parsqu'il savait qu'il s'agissait de l'aveugle. Il laissa terminer sa phrase au jeune garçon, afin que lui même aussi se présente. Il leur sourit à tout deux, bien qu'une des deux ne pourrait le voir...