Essaye de comprendre...

C'était le soir, il ne faisait pas vraiment beau d'ailleur et la nuit commençait à pointer le boud de son nez. Mais tout cela, Elia ne le voyait pas, alors, elle s'en fichait royalement du temps et de tout le reste. Aujourd'hui encore, cela avait été une journée très chaude avec des températures frisant le 28 ou 29 °. Et, c'etait pour cette raison que la jeune aveugle avait mis une robe ni trop longue, ni trop courte, mais très légère. Sa couleur dorée allait parfaitement avec ses longts cheveux roux qui lui tombaient gracieusement dans son dos. La seule bizarrerie dans ce jolie tableau était qu'Elia n'avait pas de chaussures. Oui, vous avez bien lu, la rouquine était pieds nue sur le carelage brullant. Seulement, elle adorait cela, sentire la chaleur sur ses pieds.

Les mains parcourant l'aire frais qui s'insinuait par les fenêtres ouverte, Elia finit par s'arrêter de marcher et par passer sa tête par l'orifice d'une de ces fenêtres. Elle ne voyait pas le paysage, mais il était beau.
Les couleurs rougeâtre du soleil couchant se reflettait sur sa peau diaphane.
Elia souriait, elle était heureuse ici, en ses murs. Elle avait des amis dans cette école, et, voila, elle se sentait bien...
Pourtant, le poème en cours de littérature lui trottait dans la tête. Elle avait peur de cette solitude, peur qu'elle ne parte jamais...

-" Solitude es-tu mon amie?"

Avait murmuré la jeune aveugle pendant un coup de vent ramenait ses cheveux vers l'arrière.

Le beau temps, Isääk aimait bien, mais il ne voulait pas sortir dehors et risquer une insolation. Les devoirs... Il les avaient déja fait. Et oui, le garçon était en avance sur les autres, et sutout, n'avait aucun problème avec tout cela et n'aimait pas s'encombrer de choses qu'il jugeait inutile.
Alors, il marchait à travers les dédalles de l'école à la recherche de quelque chose d'interressant à faire. Quand, il apperçut au loin, la jeune Elia. Remarque, ce n'était pas si difficile de là reconnaitre parmis les autres élèves avec ses longt cheveux roux qui lui tombaient dans le dos.
S'approchant un peu, il vit que son amie n'avait pas de chaussures et marchait pieds nue sur le sol brulant. Isääk trouvait cela étrange et ne put réprimer un petit rire. Enfin, il posa une main sur son épaule qu'il trouva fragile et frèle, mais, il commençait à avoir l'habitude et dit:

-" Bonjour... Tu parles toute seule?"

Il souriait, mais il savait parfaitement qu'elle ne le verrai pas. Qu'importe, le garçon était heureux de la voir, ça faisait longtemps...
Et puis, depuis sa discution avec Oliver, Isääk s'amusait à comprendre les sentiment de son ami pour la jolie demoiselle. L'aimait-il ou pas?
Et elle, qu'en était-il pour elle?

-" Il est beau ce paysage. Au loin, on remarque une petite pièce d'eau, le soleil est rouge, comme tes cheveux. Ca rend très jolie, sur ton visage tu sais..."

Il prit la main de la petite aveugle et continua son récit:

-" Les arbres sont jaune et on voit plein d'élèves dans le parc. De loin, cela ressemble à des petites fourmies, c'est assez marrant..."

Puis, il tourna la tête et retira doucement sa main de la siennes.
Et si Oliver le voyait, que penserait-il de ce tableau? Ce couple improbable allait bien ensemble, de l'extérieur, mais, au final, il ne l'était pas du tout, probable.

Elia avait entendu Isääk arriver, mais elle ne dit rien. Il là salua, elle lui souria.
Ce garçon, elle l'appréciait vraiment. Il était tout ce qu'elle n'était pas: franc, bavard, naturellement inscouciant et très naturel.
Elle, elle n'était que naturelle, mais timide et très reservée. Au final, elle l'enviait un peu, mais surtout, le respectait.

Il parlait, il lui décrivait ce paysage qu'elle ne voyait pas, mais qu'elle imaginait au fil de ses mots. Elle écoutait les rires, au loins et les parôles de ce garçon, son ami.

Puis, il lui saisit la main, elle ne la dégagea pas, au contraire, entrelaça ses doigts fin autour des siens. Dans ce geste, il n'y avait aucun sous entendu. Elia aimait beaucoup Isääk, en tant qu'ami et c'était tout. Dans son coeur, il y avait peut être quelqu'un d'autre, peut être pas... Mais tout ceci était une autre histoire.
Pour l'heure, elle imaginait les choses et les objets. Et, dans Isääk, elle avait honte de le dire, mais elle retrouvait son père et la douceur qu'il émanait de lui.

-" Pourquoi n'es-tu pas dehors avec les autres? Il fait beau pourtant..."

Isääk regarda dehors.
Oui, pourquoi n'était-il pas avec les autres, entrain de s'amuser avant d'aller rejoindre calmement les dortoires? Aucune idée, disons que cela venait plutôt du fait qu'il avait besoin de se retrouver seul, même si la présence d'Elia ne le dérangeait absolument pas.
Alors doucement, il décroisa ses doigts de la main d'Elia et croisa ses bras sur le rebord de la fenêtre pour y poser sa tête. Il laissait le vent jouer avec ses cheveux, tout en regardant celui ci jouer avec ceux de la jeune fille. Ils dansaient tel de petit boud de feu, c'était beau à voir et terriblement triste aussi. Les mèches se mouvaient, indescriptiblement en ne suivant aucune règle.
Isääk regardait, sans rien faire d'autre. Il se sentait bien, ici, avec Elia. Elle était d'une nature reposante, très gentille et ne parlait pas beaucoup. On disait souvent qu'on reconnaissait ses amis seulement quand on pouvait rester silencieux avec eux, sans qu'aucune gène ne naisse. Alors si c'était vrai, Isääk avait des amis. Deux amis: Oliver et cette jeune filles aux cheveux flamboyant.
Mais rien n'était moins sur que cela.

Alors, au boud d'un certain temps, le garçon répondit à la question:

-" Je n'ai pas envi de sortir. Ici, je suis bien, ta présence me suffit, je n'ai pas besoin des autres."

C'était vrai en cet instant. Il n'avait pas besoin d'autruit.

Le sourire d'Elia s'élargit.
Elle aurait aimée que ses parents lui disent cela, seulement, c'était impossible. Maintenant, ils avaient disparut de sa vie, et il n'y reviendraient jamais, c'était comme ça, elle n'y pouvait rien.
Alors, ces parôles, elles lui rendait cette joie perdue. Car, bien avant les autres, Elia avait compris ce qu'était le fait d'être seule sur terre, et, elle n'avait jamais connu l'amour maternel et paternel, sauf, avait ces quatres ans.
Oh, biensur, elle ne se doutait pas qu'Isääk était tout aussi ignorant qu'elle dans ce genre de sentiments. Mais, les dires de ce jeune homme lui remontait le morale et faisait fuire doucement la solitude.

Ainsi, il n'avait pas besoin des autres. Elle non plus, elle n'en avait pas besoin. Elia avait l'habitude de rester seule, mais maintenant qu'elle avait des amis, la jeune fille redoutait les moments de solitude. Seulement, si une personne était présente avec elle, la rouquine n'avait plus besoin des autres, une seule, ça lui suffisait.

Après un petit moment, où son visage ne faisait que sourire, la tête bien droite sentant le vent dans ses cheveux, Elia finit par ouvrire la bouche et dire ces quelques mots:

-" Merci... Ca me fait plaisir!"

Isääk était comme hypnotisé par les cheveux flamboyant d'Elia. Cette danse, elle était si belle et si enivrante qu'il sentait son coeur se serrer.
Son coeur? Se serrer?
Ces mots, associés, il pensait ne plus jamais les entendres, les comprendres et surtout, ne plus jamais les recentires. Mais, il n'y pouvait rien, ses yeux suivant les mouvements gracieux de la cheveulure de la petite aveugle. Il aimait ces mouvements, il aimait cette couleur, il adorait cela.
Au bou du compte, Isääk se rendit compte qu'il aimait beaucoup non pas les cheveux, mais la personne.
Elle était si calme, si douce et si timide, tout ce qu'il détestait, et au final, tout ce qui l'attirait. Lui, qui n'était rien de cela enviait les personnes comme elle.
Il se surprit donc à regarder ce visage si doux et terriblement osseux. Elle était maigre, la petite Elia, mais ça lui allait bien. Pourtant, malgrès sa minceur, Elia était jolie, et, en cet instant, il comprit Oliver.

Mais enfin, que lui arrivait-il?
Isääk grimaça, ici, il laissait les sentiments le gagner, et ça lui faisait peur. Alors, il fit la moue et tourna le regard. Tout mais pas ça... Oui, tout mais pas ça...

-" Dit moi Elia... Que penses-tu d'Oliver?"

Il avait dit ces mots sans le vouloir. Mais, sa bouche avait été plus rapide que son cerveau.
Etait-ce de la jalousie? Vers l'un et l'autre? Qui prefferait-il? Elia? Oliver?
Maintenant, il ne savait plus, et sentait son coeur battre de plus en plus fort au fure et à mesure que les secondes passaient.

Les yeux d'Elia s'agrandirent de suprise. Elle décela dans la voix de son ami, un espèce de trouble, mais ce n'était pas cela qui la désarsonna, non, plutôt la question qu'il avait posé.
C'était la même qui trotait dans sa tête depuis un moment, et, elle s'efforcait de ne pas trop y penser. Mais, maintenant, la question était posée, et à haute voix.
Et, quel était la réponse?
Le regard vide d'Elia sembla réfléchir un temps, puis elle prit une grande respiration et répondit franchement:

-" Je l'aime beaucoup. Il est gentil, attentionné et... Je ne sais pas, je l'aime beaucoup, c'est tout. C'est mon ami, mais parfois, je me demande pourquoi... pourquoi... pourquoi je pense à lui comme ça."

Ses joues devinrent rouge écarlatte.
Elle ferma les yeux et tourna la tête vers la gauche. Elia était trop génée et surtout, ne comprenait pas le ton qu'avait prit Isääk pour poser cette question.

Le visage du garçon se renfrogna quand la réponse arriva. Mais, il s'y était attendu, un peu...
Alors, il reposa ses yeux bleu turquoise sur le visage de son amie. Il ne le voyait plus, il était maintenant caché par des cheveux roux qui vollettaient au vent.
Les yeux méchament triste, Isääk se releva lentement et prit le menton d'Elia. Son geste était ferme et décidé. Il ne la lacherait pas, ça c'était sur.

Une bataille sans fin semblait prendre forme dans le coeur du garçon. Il ne savait s'il devait considérer Elia comme une rivale ou autrement. Et, il ne savait pas l'empleur des sentiments nouveau qui grandissait en lui. Ils semblaient ne pas avoir de fin, ni de début d'ailleur.
Isääk se sentait triste et heureux. Tout se mélangeait, il n'y avait plus aucune logique dans ses gestes et ses parôles.

Il regardait à présent les yeux vide de la jeune fille. Il aurait aimer y lire quelque chose, mais c'était impossible. Alors, il se pencha et posa son front sur l'épaule d'Elia, lui lachant le menton. Plié en deux, il dit ces quelques parôles:

-" peut être que tu l'aimes..."

Il soupira mais ne bougea pas d'un pouce. Il leva juste la main et attrapa la sienne.

-" Peut être que je t'aime et peut être que je l'aime..."

Il n'ajouta rien, mais ne savait pas vraiment s'il pensait tout ce qu'il avait dit.

Quand Isääk saisit son menton, Elia réprima un cris. Elle était surprise que son ami réagisse de la sorte, mais surtout, elle ne pouvait se débattre.
Alors, elle ne fit rien, ne bougea pas, les bras le longt de son corps et les yeux vide posé sur le visage du garçon.
Le temps ne semblait plus avoir de prise et la jeune fille se demandait combien de minutes elle était resté là, sans parler ni bouger. D'ailleur, elle était très proche d'Isääk et sentait son souffre brulant sur son nez. Il n'allait pas bien, elle s'en rendait compte.

Puis, il se pencha et posa sa tête sur son épaule. Elle ne dit rien, elle n'avait rien à dire. A vrai dire, elle ne comprenait pas tout ce qui se passait.
Mais, il se mit à parler, et là, elle comprit.

Oui, peut être qu'elle l'aimait. C'était très probable...

Mais ce fut la suite qui la surprit le plus. Elle ne voulait pas les entendres, ces paroles, non, elle ne voulait pas. Mais, ce fut plus fort qu'elle, beaucoup plus fort.
Elle reçu le tout comme un coup de marteau, sa main dans celle de son ami. Et peu à peu, elle sentit les larmes brulante monter dans ses yeux. Puis, elle les laissa couler le longt de ses joues diaphane.
Non... ce n'était pas possible...
Elle ne savait si c'était le "peut être que je t'aime." ou "peut etre que je l'aime" qui lui fesait le plus mal.

-" je ne veux pas que ça se passe comme ça... Tu entend Isääk, ça ne se passera pas comme ça!"

Ses sourcils étaient froncés.
Maintenant, Elia serrait la main du garçon avec une violence sans nom. Non, elle ne voulait pas que le trio se sépare, non, elle ne voulait pas...
Les larmes coulaient toujours et ses cheveux collaient à son visage humide.
C'était impossible, impossible...

Malgrès l'ennervement soudain d'Elia, Isääk ne bougea pas d'un poil. Il fermait seulement les yeux, sa paume martellée par celle de son amie. Elle la serrait de toute ses maigres forces, et ça faisait mal au garçon, mais pas tellement au niveau de sa main, non, plus haut, dans sa poitrine, au niveau de son coeur.
Il ne comprenait pas pourquoi, et puis Oliver avait eu la même réaction. Alors, Elia était finalement comme lui, ce garçon aux cheveux couleur de lune, elle ne voulait pas que cela change, pour elle s'était impossible. Elle ne voulait pas que les choses changent, alors... Elle ne changerait pas.
Pourtant, c'était idiot, il fallait bien, un jour, que les choses évoluent. Les sentiments, c'était pareil. Mais pour cela, Isääk devait lui même affronter la terrible réalité et se laisser envahir par des sentiments.

Au boud d'un moment, le garçon leva la tête et recula, lentement. Puis, il lacha la main de son amie. La sienne était rouge et saignait par endroit, mais il n'y prit pas garde. Au contraire, il recula encore et se stoppa, à une distance raisonable, celle que l'on laisse automatiquement quand nous parlons à des gens que nous ne connaissons pas. Ainsi, chacun avait son monde, et personne n'empietait dessu. Puis, il rangea ses paumes dans ses poches et regarda la jeune fille.
Elle pleurait, surment de rage. Ses sourcils étaient froncés, signe d'une grande colère. Et qui était l'objet de tant de mépris, lui à moins que ce soit d'elle même?

Soupirant, il recula encore et dit:

-" Oui, j'entend... Mais laquel des choses que j'ai dites ne se passera pas comme ça?"

Il souriait, seulement avec les lèvres.

-" Moi et Oliver?"

Il leva un sourcil.

-" Toi et Oliver."

Il deglutit difficilement et se ravança jusqu'a froller son visage avec ses cheveux blod.

-" Toi et moi?"

Il ne bougeait plus.

La petite Elia était perdue.
Elle sentit le garçon reculé, puis parler. Il semblait aussi troublé qu'elle. Il lacha sa main, elle ne dit rien, mais sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine. Le fil qui les reliait venait d'être rompus, mais le garçon se semblait pas vouloir en rester là.
Il lui demanda une chose auquel elle ne savait que répondre.

Oui, de quoi avait elle le moins envi...
Isääk et Oliver, car si c'était le cas, elle se retrouverait encore toute seule.
Mais, il y avait aussi Oliver et elle. Elia serait la petite amie du garçon, mais elle le redoutait aussi.
Et, Isääk et elle, qu'en serait-il?

Les larmes cessèrent de couller et ses soucils se détendirent.
Elle sentait maintenant le visage de son ami, juste contre le sien, et elle réflechissait.

Lequel des trois serait le plus terrible?
Troublée, elle ne répondit pas. Le vent s'amusait toujours avec leurs cheveux, et Elia sentait les petites mèches courte d'Isääk sur son nez. Ils étaient proche, beaucoup trop proche. Elia ne voulait pas de ça, mais elle ne pouvait reculée...
Pourquoi? Pourquoi ne partait-elle pas?
Tout son corps semblait être en désacord avec la raison.
Mais où était la raison?
Elia était perdue et elle aurait donné cher pour qu'une autre personne vienne le déranger.

Alathéa se dirigeait vers la salle de chant, son appareil photo à la main, on ne savait jamais ce qu'il pouvait survenir de magnifique à ses yeux à tout moment. Il ne fallait rien rater. Simplement, tout mémoriser sur le papier glacé, la pellicule, l'ordinateur.

Elle passa dans un coridor un peu plus fin, et puis trébucha dans sur son pantalon un peu trop long, faisant un léger schboom presque imperceptible, puis au loin, elle aperçut Elia avec quelqu'un, ne sachant vraiment que faire, elle se tue et attendit de voir si son amie l'avait entendue.

Elia était toujours collé à Isääk, les bras balland et le regard vide posé sur le sien, quand ses oreilles perçurent un léger bruit. Elle reconnu vaguement le son que quelqu'un fait quand il trébuche ou tombe par terre.

Alors, la jeune fille tourna la tête, si vite que son nez s'entrochoqua avec celui de son ami. Mais, elle n'y prit pas garde, l'important maintenant, c'était de reculer le plus possible. Elle était déja assez génée comme ça de se tenir si près d'Isääk, alors si quelqu'un les voyaient dans cette position et que cela remontait aux oreilles d'Oliver, ça risquerait d'être sacrément embêtant. Surtout qu'elle ne savait même pas pourquoi cela l'embêterai.

Ses pas reculaient, et elle regarda en direction de l'endroit où le bruit avait retentit.

-" Alathéa?"

L'odeur qu'elle percevait était celle de son amie. Après, il arrivait qu'elle se trompe, et mieu vallait être prudente.

Alathéa rougit, oui elle l'avait entendu...mais que répondre? elle dérangeait sûrement, en même temps peut-être qu'aussi ce n'était pas elle le dérangement, et qu'elle venait la sauver de l'embarras. Elle décida donc de répondre...

- Euh oui, c'est moi, mais je peux partir si tu veux?

Surpris, très surpris même de l'intervention d'une jeune fille dans sa tirade, Isääk n'eu d'autre reflexe que de s'écarter vivement d'Elia. Et, comme on devait s'y attendre, ses joues se teintèrent de rouge et il baissa la tête de honte.
Non mais pourquoi avait-il si peu de chance?
En même temps, il l'avait bien cherché. Et, de toute sa vie, il n'avait eu que cela, des deceptions.

Mais, il ne savait s'il pouvait considérer celle là comme tel. Elia n'avait pas répondut à ses dires. C'était vexant et très compréhensible...
Et, au final, il se demandait ce qu'il aurait bien pu dire ou faire si elle lui avait dit que tel ou tel perspective lui aurait plu.

Et, à la place de parler, il s'éloigna d'Elia et se posa le dos contre la balustrade, les mains croisés sur son torse.
Il n'avait rien à faire dans la conversation d'Elia et d'Alathéa...
Tout simplement...