Deuxième passage dans le VCH

Oliver se releva. Le décore avait changé. Des étalages s'allongeait de partout autour de lui. A n'en pas douter, il s'agissait d'un centre commerciale. Tout était desert. Les étalages étaient bombé de toute sorte de produit, mais cependant semblaient vide. Vide de vie. Il n'y avait rien d'autre ques ces rayons à pertent de vue. Vraiment cette fois il croyait ne pas exister. Pourtant , il était bien la, son corp à lui ne semblait pas avoir changé, il était le même. Il appella les autres. Personne ne pouvait l'entendre, de toute facon et personnes donc lui répondit. Il erra dans les rayons du magasins, esperant plus que tout retrouver Elia, qui pouvait avoir apparut n'importe ou. Ce n'était pas comme dans l'imense salle du chateau. Ici, les cachette étaient multiple. Tous pouvaient se trouver n'importe ou.

Il put constater qu'il avait de nouveau ces trois boules autour du cou, ces trois malheureuse boules qui determiné quand il devrait sortir de ce monde. Il n'en sortirait pas avant d'avoir retrouvé Elia. Il la défendrait de sa vie, mais surtout esperait que personne ne la retrouverait avant lui. Il ne laisserait personne se mettre en travers de leur chemin. Son caractère était belle et bien changé dans ce monde. Ici, il savait qu'il serait prêt à faire du mal pour proteger Elia...

Et, ce fut en ouvrant ses yeux que la jeune Elia se rendit compte que l'endroit avait changé.
Déja, elle voyait. Tout était rouge, lui donnant la nausée. Elia détestait le sang et le rouge. Maintenant, elle le savait, le rouge, elle en avait horreur.
Alors, elle décida de fermer les yeux. Tout mais ne pas être malade, non surtout pas.
Ensuite, sont corps étaient très émaciés, elle ressemblait à une morte, ses longt cheveux formant deux rideaux orange autour de son visage.

Enfin, tout en elle la révulsait: la mort, le sang, le rouge, tout oui tout lui donnait envi de vomir.
D'ailleur, la tête lui tournait.
Elia ramena donc lentement ses jambes sur sa poitrine et posa sa tête sur ses genoux. Il fallait reprendre des forces au plus vite pour pouvoir bouger et partir à la recherche d'une sortie.
La jeune fille en avait marre de souffrir, ça la rendait triste tout ça. La mort lui faisait peur, oui, elle en avait tellement peur...
Mais, peut être pas peur pour elle, non, plutôt peur de perdre ses amis, la seule famille qu'elle avait maintenant. Non, tout mais ne plus jamais recentire cette souffrance, oui, celle qu'elle recentait en cet instant, celle qui se ranimait dans son coeur, lui martelant les entrailles. Son père, sa mère, son frère, tout lui revenait en mémoire, et elle ne voulait pas s'en souvenir...

Après un longt temps, auquel sa tête lui montrait des images qu'elle aurait préferrer oublier, Elia finit par se relever. Elle tendit les mains et balaya l'aire à la recherche d'indices.
Où se trouvait-elle?
La jeune fille n'en avait aucune idée, elle touchait des affaires postés sur des cintres. Serait-elle dans un magasin?
Haussant les épaules, la rouquine avança dans la pièce et se retrouva dehors, dans le centre commerciale. Elle n'entendait aucun son, personne n'était présent, elle était seule.
Elia soupira et avança encore, il fallait qu'elle retrouve les autres. Elle avait besoin des autres pour sortir d'ici, seule, elle ne s'en sortirait pas.

Un immence mal de tête frappa Isääk quand il attérit dans le monde virtuel. Fronçant les sourcils, il passa une main dans ses cheveux blond tout en entendant le cliquetis prolongée des lourdes chaines accrochés à ses poignés.
Mais enfin, pourquoi avait-il si mal en cet instant?
Il respira lentement, essayant de se calmer quand il entendit un "POUF". Et voila, une boule de moins à son collier. Et bien, cettes fois-ci cela durerais peut être moins longtemps.
Respirant toujours à fond, il sentit le mal de tête disparaitre petit à petit. Et, enfin, il leva les yeux et regarda les allentours.
Il se trouvait dans un magasin d'éléctronique. Ici, il y avait plein de Télé et d'appareil de musique. Il y avait aussi pas mal de truc qu'il ne connaissait pas et de toute manière il s'en fichait.

Le garçon se releva doucement sentant ses mains lourdes et les cliquetis rettentissant dans le magasin, étrangement vide. Enfin, il sortit de la pièce et balaya les allés du regard. Et bien, pour retrouver quelqu'un ici, ça risquait d'être coton...

-" IL Y A QUELQU'UN???"

Cria Isääk.

Sybiline Libbie arriva dans un centre commercial, une galerie avec plein de fringue pour fille. Elle se regarda dans la vitrine et fit la grimace, elle avait presque oublié son reflet sans charme aucun. Mais elle se maîtrisait maintenant. Elle était forte. Elle savait maîtriser. Depuis toujours. Elle avait pansé ses blessures seule, comme une grande... Elle serait la dernière debout ici. Quel faux prénom avait-elle choisit déjà? Maeva. Elle était Maeva.

Elle avança calmement dans l'allée peut-être rencontrerait elle quelqu'un... Peut être qu'elle trouverait ici des habits allant à Syb'... Si on pouvait importer...

Quetsche...c'était un beau nom pour un chat. Ooui...elle était Quetsche.
Une belle minette, toute svelte, à poil noir, mi-longs. Curieuse petite bête, reniflant chaque recoin, observatrice... Un oeil sur les humains. C'était bon d'être un chat!

Elle marcha un petit peu, et trouva un garçon tout seul. Elle se fit toute petite dans un coin, et se léchouilla le poil, coquette la minette. Elle secoua sa petite tête et sentit le collier, elle s'amusa à donner des petits coups de pattes silencieux dedans et se roula par terre.

Elle se redressa et s'assit à nouveau, observant Isaak.

Aucune réponse.
Bof, il fallait s'y attendre. De toute manière, il ne s'était pas attendu à ce que quelqu'un hurle : JE SUIS LA!
Il le savait déja, au plus profond de lui même, que personne ne lui répondrait. Et puis, entre Elia qui ressemblait à une morte, Alathéa a un fantôme et Oliver à un homme invisible, il doutait fortement que l'un d'entre eux veuille être retrouvé.

Marchant tel un condamné, et ce n'était pas un euphémisme, Isääk avait vraiment l'aire d'un condamné avec ses lourdes chaînes. Il recherchait quelque chose qui puisse le faire retourner dans le monde réel. Manque de bol, il ne savait pas comment s'y prendre. Le coup des boules qui explosent, très peu pour lui. Il avait déja donné.
Et le petit enfant, il avait réussi a trouver une clé. Mais où était-elle déja?
Incapable de se remémorer, Isääk décida de se stopper. Il trouva un banc ou s'assoire et regarda le drole d'endroit.

Un centre commerciale, rien que ça!
Bof, de toute manière, ça ou autre chose...

Puis, quelques temps après, il remarqua que quelqu'un le regardait.
Etonné, il baissa les yeux et tomba nez à nez avec un petit chat. Très surprit, il leva la main avant de la susprendre dans le vide.
Mieux vallait se méfier. Ici, c'était un monde virtuel...

- Mraaow.

Quetsche frotta sa tête contre la patte de l'humain. C'était bizarre comme animal. Mais elle aimait bien les embêter un peu, pas trop, on ne sait jamais, ce n'est pas très gentil dans le fond, les humains.

Maike se sentait bien pas vraiment humaine, pas vraiment chat... un doux cocon. Elle allait rester un peu là.

Quetsche repris donc sa petite ballade zigzaguant et sautillant.Ses petites perles firent un léger gling et elle leur mit un coup de patte à ces malautruse bruillante, puis revint se poster près du garçon.

Oliver erra dans les longs couloirs d’étalages que formait le centre commercial. Il marcha d’abord puis se mit a courir. Où était Elia ? Etait elle la au moins ? Il fallait qu’il la retrouve. Il souffrirait trop s’il la voyait souffrir. Qu’importe les autres. Elle seule lui importait dans ce monde finalement. Il avait même peur que sans lui son aspect cadavérique ne prenne vraiment le dessus d’elle, et qu’elle finisse par en mourir. Si seulement elle pouvait donner signe de vie, crier ou quelque chose…

Mais ce fut Isaak qui cria. Cela venait de plus haut, Oliver aurait même dit tout juste au dessus de lui. Il devait sans doute y avoir un second étage, voir plus. Cela compliquait sa tâche de retrouver Elia. Il voulut répondre mais bien sur aucun son ne sortit de sa voie. Mais il devait trouver un moyen de lui répondre. Peut être Elia l’avait elle entendue et se trouvait déjà à ses cotés, qui sait, peut être même était elle en danger avec lui ?
Il devait lr rejoindre au plus vite, mais ne voyait pas comment, il avait beau chercher, pas d’escalier en vue. Il attrapa une pomme ( il n’avait pas remarqué qu’il se trouvait devant un fruit et légumes, alors que l’instant d’avant il errait dans le rayon des habit, comme si le simple fait d’avoir désiré une pomme avait installé ce fruit et légumes à cet endroit), s’assit et croqua goulûment dedans. Une pensée le fit sourire. Heureusement que lui se voyait, sinon, il aurait peut être eu droit d’assister au long cheminement et diverse transformation de la pomme dans son estomac.

Mais oui c’était la solution. Peut être que les autres pouvaient le voir s’il se mettait en contact avec divers objet. Bon a cet instant le problème n’état pas la. Mais s’il ne pouvait pas crier, il exister peut être un autre moye de se faire entendre.
Il décida alors de pousser l’étagère de conserve se trouvant juste devant lui, alors que quelques secondes plus tôt c’était le fruit et légumes, et il n’avait absolument pas bougé. Il ne s’en soucia même pas. Apres tout, il s’agissait d’un monde virtuel, donc tout était a priori possible. Lorsque ses mains approchèrent de l’étagère, à son grand désespoir celles-ci la traversèrent. Il n’existait pas…

Si il existait. Il était la pour le prouver justement. *Je Veux exister, je veux exister…*
Et cette fois ses mains ne traversèrent pas l’étagères,car celle-ci s’effondra dans un interminable fracas poursuivit d’une part par les deux autres étagère derrières qui s’effondrèrent au passage, puis par l’échos que renvoyait le magasin, de telle sorte qu’il fallait être sourd ou qu’on puisse être dans le magasin pour ne pas entendre. Il espérait que cette acte ferait accourir ses amis, enfin tout ce quoi lui contait était qu’accours Elia…

L'ouïe plutôt developpée pour une jeune fille ordinaire (et aveugle), Elia était à la recherche d'un moindre son qui pourrait la renseigner sur les autres élèves. Si autres élèves il y avait... ce qui était moins sur car aucune preuve ne surgissait.
Désespéré, la jeune fille se laissa tomber à terre.
Assise en plein millieu du centre commerciale, Elia se dandina comme une petite fille impatiente qui attend que ses parents viennent là chercher. Seulement, il n'y aurait pas de parents qui viendraient, il n'y aurait personne parce que les géniteurs d'Elia étaient tout bonnement mort. Et, depuis toute petite, elle n'avait jamais eu l'espoire que quelqu'un viennent l'aider. Elle avait appris, depuis sa plus tendre enfance à n'attendre personne et a vivre seule.
Seulement voilà, maintenant elle s'était attachée à des personnes.
Biensure, elle regrettait fortement, puisqu'elle avait toujours peur pour eux et espérait constamment qu'ils allaient bien et qu'ils n'étaient pas blessés. C'était devenu une fixette, et Elia détestait cela.

Elle avait appris l'inquiètude...

Puis, après quelques temps passé a se dandiner sur le sol tel une personne atteinte d'une psychose très developper, elle entendit un son. Il était faible mais audible. Il venait du dessus...

Certaine d'avoir reconnu la voix d'Isääk, Elia se leva avant d'entendre a nouveaux un grand fracas.
Surprise, elle sursauta avant de crier et d'entendre un "POUF".
Elle passa sa main sur son coup et remarqua qu'il manquait une boulle à son collier.

Puis, elle avança a l'aveuglette avant de tomber sur l'origine du bruit.
Tremblante de peur, elle dit doucement:

-" Qui est là?"

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